villes nouvelles vietnamiennes composé: les villes-relais, les villes satellites et les villes écologiques. Nous avons tenté à travers les études de cas de montrer les spécificités et les ressemblances entre ces différents espaces en posant l’hypothèse
que ces villes nouvelles se trouvaient dans un entre-deux urbanistique à plusieurs égards. Entre-deux à la fois par la circulation d’un modèle de lotissement occidental influencé par des promoteurs asiatiques et construits avec les moyens du Viêt Nam
, mais aussi entre-deux entre un urbanisme progressiste, moderne et un urbanisme néo-culturaliste qui donne à la cité jardin et à la ceinture verte toute sa place en vue d’une métropolisation plus durable. La thèse montre qu’il s’agit à la fois d’une
d'évolutions du régime et interrogent son modèle de gestion, reposant largement sur la flexibilité, le pragmatisme et les échanges d’expérimentations entre les échelons territoriaux.Pourtant, la « permissivité » du pouvoir central et la marge de manœuvre
Đồng Kỵ, quartier urbain ayant récemment acquis ce statut administratif, cette recherche vise à mettre en lumière les interactions entre acteurs et territoires et à montrer d'une part comment ces communautés locales réagissent à leur captation dans la
relation entre le développement économique et le développement social et humain est, dans ce cas, la grande question posée à des pays en développement.
de données InSAR multi-temporelle (Images ALOS 2007-2011) grâce à laquelle une quantification de la subsidence sur le territoire d’Ha Noi a été réalisée. Une forte différence apparait entre les deux rives du Fleuve Rouge. La rive Nord du Fleuve Rouge
périurbain en tant que phénomène sociogéographique. L’interrogation sur les liens d’interdépendance entre périurbanisation et modernité traverse nos réflexions. La recherche vise à comprendre comment émergent dans les zones périurbaines de nouvelles formes