La destination des déchets produits par la société est invisible aux yeux de la majeure partie de la population du monde. Une métropole tropicale comme Belém jette près de 2000 tonnes de résidus par jour à la décharge de l’Aurá, plus grande décharge
en 2014 est un problème de la ville de Belém et de sa population, car il s’agit de trouver la solution pour le traitement de tonnes de déchets que la société locale produit de plus en plus chaque jour et, aussi de créer des alternatives d’emplois et
dimensions spatiales et territoriales de la gestion de crise. Différentes vulnérabilités sont mises en évidence : celles des hôpitaux majeurs, celles du dispositif de soins, et celles de la population à travers l'accessibilité aux soins en situation de crise