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Par Collection Par Auteur Par Date Par Sujet Par Titre Par ville ? Par pays ? Par continent ?
  • Effets des changements economiques et socio-culturels sur le secteur de l artisanat textile a Khniss dans le Sahel tunisien
  • Universite de Lille I
  • Le chomage au Gabon : sociologie des chomeurs dans les quartiers populaires de Libreville
  • Universite de Nantes
  • Les reseaux de transport a Djibouti et le developpement economique et social
  • Djibouti - Djibouti - Afrique de l Est - Afrique - Infrastructure de transport - Investissements de capitaux - Croissance endogene - Developpement economique
  • Les dispositifs institutionnels dans les politiques de lutte contre l’exclusion urbaine - Le cas des dispositifs participatifs dans le PNRU en France et dans l’INDH en milieu urbain au Maroc : Approche comparative entre deux métropoles françaises
  • L’objectif de ce travail est de chercher à comprendre comment des dispositifs participatifs génèrent des effets au niveau de la relation entre les représentants des pouvoirs publics et les représentants associatifs mobilisés autour des dispositifs
  • mis en place dans le cadre du « Programme national de rénovation urbaine » en France et de l’« Initiative nationale pour le développement humain en milieu urbain » au Maroc. Cela permet de comprendre les points communs et divergents entre les deux cas
  • étudiés. Cette recherche s’appuie sur le recueil d’environ 70 entretiens semi-directifs. Ceux-ci ont été réalisés avec des acteurs publics et associatifs impliqués dans le « PNRU » en France et dans l’« INDH en milieu urbain » au Maroc. Cette thèse montre
  • que les dispositifs participatifs mis en œuvre dans le cadre du Programme national de rénovation urbaine et de l’INDH en milieu urbain, contribuent à transformer la relation entre les représentants des pouvoirs publics et les représentants associatifs
  • . Ces dispositifs ont donné lieu à l’émergence de « professionnels » de la participation. L’enquête montre par ailleurs que les pouvoirs publics utilisent les ressources associatives pour produire de l’action publique dans les quartiers populaires. Dans
  • ce cadre, les acteurs associatifs accomplissent des actions qui devraient être réalisées par des agents publics.
  • Les bas-fonds des sables dunaires de la region de Dakar : potentialites agricoles et contraintes urbaines.
  • Dakar - Senegal - Afrique de l Ouest - Afrique - Dunes - Inondation - Hydrologie Urbaine - Hydrogeologie
  • Impact de la pauvrete urbaine sur le dynamisme de croissance de la ville d Abidjan
  • Abidjan - Cote d Ivoire - Afrique de l Ouest - Afrique - Pauvre en milieu Urbain
  • Surgissement, prolifération et intégration des motos-taxis dans les villes camerounaises : les exemples de Douala et Bafoussam
  • Accident de la route
  • Au cours des dernières décennies, la mobilité dans les villes camerounaises a été marquée par la croissance considérable du trafic des motos-taxis, qui constituent désormais le mode de déplacement dominant. La sédimentation actuelle des deux-roues
  • dans la circulation génère des nuisances, des problèmes et des coûts pour la collectivité et les usagers. La conséquence la plus directe provoquée par cette mutation de la mobilité est l’augmentation croissante des accidents. Les motos sont désormais au
  • favoriser le passage d’une cohabitation conflictuelle à une cohabitation pacifique entre les motos-taxis et les autres usagers de la route. Celle-ci nécessite une réponse urbanistique, pédagogique, sociologique et politique, elle implique une gouvernance et
  • coeur de violents conflits d’usage sur la voie publique. L’objectif de notre recherche est double, il s’agit d’abord d’améliorer la prise de conscience de l’importance des enjeux et des externalités et, ensuite, de proposer des pistes de réflexion pour
  • Recomposition des territoires politiques et gouvernance urbaine : le cas de la ville de Bamako (Mali)
  • Afrique de l'Ouest
  • La ville de Bamako produit-elle du changement politique ? C'est à cette question, en apparence classique que cette thèse entend répondre. A partir d'une enquête menée dans le contexte des échéances électorales de 2007, nous proposons d'aborder les
  • voies théoriques et méthodologiques d'une étude qui tente d'expliquer la faible participation électorale des bamakois. En prenant successivement en compte le territoire comme agrégat de données quantitatives (territoire objectif) puis comme construction
  • sociale opérée par les individus (territoire subjectif), nous proposons de revenir sur les apports d'une approche « sociogéographique », permettant de comprendre les raisons de la faible participation électorale des individus. La « politique » apparaît à
  • la fois comme le résultat d'un repérage des problèmes territoriaux et comme un série de thèmes définis (le vote aux élections, la mondialisation, etc) donnant à voir quelques aspects distincts de l'influence du territoire sur la politisation des
  • individus. Il conviendra dans cette thèse de mobiliser des entretiens directifs et semi-directifs afin de connaître le sentiment démocratique des bamakois.
  • Enjeux des mutations et des recompositions du foncier autour de Bamako (Mali)
  • Afrique de l'Ouest
  • Dans un contexte d’urbanisation galopante, l’étude des enjeux des mutations et des recompositions du foncier autour de Bamako (Mali) laisse transparaître des transformations importantes du foncier et permet d’appréhender les inégalités d’accès et
  • les contraintes auxquelles les populations rurales sont confrontées. La forte croissance démographique constatée dans les villes aussi bien que dans les communes périphériques, est source de profondes mutations foncières et d’enjeux importants. Ces
  • connaissance des mutations du foncier agricole et de leur rôle dans l’approvisionnement de la ville de Bamako. A travers les enquêtes basées sur l’observation sur le terrain, l’enquête par questionnaire et celle par entretien, la thèse se propose ainsi
  • d’analyser les enjeux fonciers, les acteurs du jeu foncier, le rôle du péri urbain dans l’approvisionnement de la ville, les conflits engendrés afin de mieux comprendre les mutations et les recompositions foncières dans les espaces péri urbains. Les résultats
  • de l’étude révèlent que la ville de Bamako qui connaît une urbanisation rapide entretient des relations réciproques et complémentaires avec les communes rurales péri-urbaines. Nous partons des usages du foncier agricole péri urbain dans quatre
  • collectivités territoriales de Baguinéda, Sanankoroba, Kambila et N’Gabacoro Droit, pour y étudier l’évolution du foncier périurbain, ses mutations, les stratégies et les pratiques des acteurs dans le processus d’accaparement foncier. Cette situation est l’une
  • Dynamique socio-spatiale de la ville de Bamako et environs
  • Afrique de l'Ouest
  • Les capitales Africaines font face à une croissance urbaine grandissante qui s’accompagne de multiples défis. Ces villes sont de plus en plus perçues par les ruraux comme la destination idéale pour échapper à la précarité du milieu rural. Cette
  • la capitale Malienne représente 55,3 % de la population urbaine du pays (INSTAT, 2009). Les villes secondaires du pays sont moins dynamiques et attirent de moins en moins les ruraux compte tenu de leurs niveaux de développement. La centralisation de
  • tous les grands équipements et sièges d’institutions importants du pays à Bamako fait qu’elle est la destination favorite des ruraux. L’urbanisation accrue de la ville se traduit spatialement par un étalement croissant. En vingt-huit ans, la tache
  • urbaine de la ville de Bamako a augmenté de 7290 ha. Elle est passée de 17 % et 1986 à 32 % en 2014. Durant cette période, il y a eu beaucoup d’aménagements dans le District de Bamako. Mais elle a été marquée davantage par le développement remarquable de
  • la rive droite qui accueille de nos jours la majorité de la population bamakoise. Le rythme soutenu de cette croissance a conduit à l’épuisement des réserves foncières de la ville. Depuis une dizaine d’années, les réserves foncières des communes
  • environnantes sont mobilisées pour résoudre les besoins fonciers de Bamako. À cela s’ajoute la réorientation des citadins en quête de propriété vers ces communes environnantes, agrandissant la pression foncière dans ces localités. L’épuisement de la réserve
  • Faire la ville au bord de l eau : les lacs de Tunis : des marges urbaines a des sites de tres grands projets d amenagement
  • De New York à Dakar : pour une approche critique et méthodologique de la justice environnementale
  • Afrique de l'Ouest
  • Le thème des inégalités et ses corollaires, telles la pauvreté, la précarité, l’exclusion ou encore la ségrégation, se posent de plus en plus d’un point de vue de la justice et concerne à la fois les enjeux spatiaux et environnementaux. Comme pour
  • marquer le paroxysme des inégalités, la question de la justice environnementale vient relancer le débat autour de l’accès aux ressources au sein des catégories sociales et spatiales, ainsi que le débat autour de l’inégale répartition et répercussion des
  • externalités, causées entre autres par l’usage de ces dernières d’un point de vue environnemental. De New York à Dakar, malgré les différences de contextes socio-culturels et économiques, les mêmes phénomènes d’inégalités face aux conditions environnementales
  • s’observent avec cependant des nuances dans les formes de manifestations et d’interprétations. Ce travail vise à réfléchir sur les déclinaisons que peuvent avoir les injustices environnementales dans la ville de Dakar à partir d’une approche élaborée dans les
  • villes américaines, berceau des mouvements de revendications. Deux localités situées dans la baie de Hann sont choisies en raison des pollutions industrielles dont elles souffrent. Il s’agit de Hann-Bel-Air et de Thiaroye-Sur-mer. Partant de l’analyse des
  • nuisances environnementales liées à la pollution industrielle, il s’agit de montrer l’importance de la « contextualisation » dans l’étude des injustices environnementales au regard des dynamiques socio-spatiales, mais aussi des perceptions face aux
  • Les marches urbains au Gabon : le cas de Libreville
  • "Vivre à l'ombre proche" du barrage de Manantali : les formes de représentations sociales des impacts dans les campements et les villages environnants
  • Afrique de l'Ouest
  • Sénégal (33%) et la Mauritanie (15%). Mais l’apparition de cet ouvrage constitue une perturbation profonde dans l’organisation et le fonctionnement des espaces riverains. Les territoires autour du Bafing, affluent où se localise le barrage, se trouvent
  • professionnels venus des régions du Centre du Mali, particulièrement de Mopti et de Ségou. Le lac devient ainsi une immense réserve de poissons avec des tailles plus importantes par rapport à ceux capturés dans les affluents du Bafing, du Bakoye, ou même du
  • fleuve Sénégal. En amont du barrage, la pêche devient la première activité économique poussant des jeunes agriculteurs et éleveurs «autochtones» à une reconversion professionnelle pas toujours aboutie. Les campements de pêcheurs occupent un ancien site
  • des villages déplacés lors de la construction du barrage. Trente-trois villages sont actuellement réinstallés en aval du barrage dans le finage d’autres hameaux préexistants. Cette cohabitation bouleverse l’occupation de l’espace et entraine des
  • voire de l’étranger. Cet afflux d’habitants urbanisés a profondément changé la configuration du site et l’a surtout fortement ségrégué. Les bureaux de la société d’exploitation au pied du barrage, le vieux village de Manantali, les cités des ouvriers et
  • celle des cadres sont autant de témoins d’un espace urbain en devenir, fonctionnel et très inégalitaire. Le principal objet de cette étude est l’étude des impacts du barrage de Manantali sur l’organisation socio-spatiale et physique des territoires
  • Entre le territoire de proximité et la mobilité quotidienne : les ancrages et le territoire de proximité comme support et ressource pour les pratiques de mobilité des habitants de la ville de Santiago du Chili
  • Face aux hypothèses de mobilité généralisée de la société et d’affaiblissement de la dimension territoriale, il est démontré dans cette recherche l’importance du territoire de proximité – la maison et le quartier – en tant que support, et lieu
  • personnel et stratégique permettant aux individus de surmonter les tensions qu’entraîne la modernité. Les individus sont, en effet, à la recherche d’un équilibre oscillant entre nomadisme et ancrage. Ainsi, il apparaît que la mobilité, bien loin de s’opposer
  • , trouve à s’articuler avec l’ancrage dans la proximité. En concentrant les apports de la Géographie et de l’Ethnographie, une recherche a pu être menée dans trois quartiers de la ville de Santiago du Chili (quartiers qui se différencient par leur
  • emplacement et par la composition socio-économique de leurs habitants). Cette recherche a été rendue possible grâce aux observations et aux visites réitérées et prolongées sur les différents terrains d’étude ainsi qu’à la réalisation de 51 entretiens
  • approfondis avec les habitants de ces quartiers. Il est avancé dans ce travail que ces derniers cherchent à s’insérer socio-spatialement en s’inscrivant dans la proximité afin de faire face à une exigence toujours plus forte de mobilité. A cette fin, il est
  • démontré comment la maison et le quartier deviennent un point d’ancrage substantiel des différents modes de vie. Cette recherche soutient que c’est l’ancrage dans le territoire de proximité qui rend possible l’exploration des différentes échelles de la
  • Universidad católica de Chile
  • Mobilite ou reproduction sociales et notabilisation dans les villes minieres et ouvrieres de Guinee : le travail, l ecole, l apprentissage et les milieux familiaux et sociaux des ouvriers des entreprises de CBG et Fria : une etude socio
  • Guinee - Afrique de l Ouest - Afrique - Mobilite sociale - Reproduction sociale - Industries minieres - Classes ouvrieres
  • Territoires de l informel : les petites activites de rue, le politique et la ville a Adidjan
  • Abidjan - Cote d Ivoire - Afrique de l Ouest - Afrique - Geographie de l Informalite - Politique Urbaine - Economie Souterraine - Urbanisme - Participation des Citoyens - Appropriation Spatiale - Lieux Centraux
  • Les petites et moyennes villes dans les pays en voie de developpement : l exemple de la zone forestiere de la Cote-d Ivoire
  • Cote d Ivoire - Afrique de l Ouest - Afrique - Geographie Urbaine - Petites Villes - Moyennes Villes
  • Habitat et mode de vie de la vallée du Drā (Maroc) : le village d'Asrir n'llemchane
  • Mode de vie
  • Cette thèse traite de l'architecture d'un village du Sud présaharien au Maroc, avec l'objectif de comprendre les origines et le développement de l'architecture traditionnelle dans cette région dans son contexte culturel et historique. Le village
  • choisi ici comme exemple représentatif est le qsar d'Asrir n'Ilemchane dans la vallée du Drā. Cette agglomération est un exemple très spécifique de ces groupements fortifiés aux maisons mitoyennes à puits de lumière central. Au-delà de la dénomination
  • courante d' « architecture berbère », l'étude vise à comprendre l'énigme de son origine à travers une analyse détaillée et compréhensive de l'architecture villageoise. À cette fin nous essayons de distinguer les contributions respectives des groupes sociaux
  • qui l'habitent, principalement deux, les Draoua ou Haratines, habitants originels, agriculteurs-jardiniers de l'oasis, et les Berbères Ayt Ātta, semi-nomades transhumants de la montagne proche, le jbel Saghro, installés plus récemment, comme
  • maisons, une observation participative et des entretiens avec les habitants dont quelques « anciens ». Nous examinons le mode constructif de ces maisons en terre crue, adobes et pisé, savoir-faire spécifique des maçons haratines. Cet habitat est mis en
  • perspective avec le mode de vie et l'organisation sociale de la population, en lien avec l'agriculture de palmeraie et le système d'irrigation. L'analyse des maisons a permis de forger des hypothèses sur le développement du village et de son enceinte au cours
  • La protection sociale au Sénégal : l'exemple des ouvriers du bâtiment à Dakar
  • Afrique de l'Ouest
  • Cette thèse porte sur la protection sociale des professionnels du bâtiment au Sénégal et plus particulièrement sur l’analyse du risque santé et de sa prise en charge chez les ouvriers à Dakar. Elle tente d’apporter des réponses à des interrogations
  • portant sur les risques au travail, les besoins d’assurance santé et les stratégies de recours aux soins des travailleurs du bâtiment et de leurs familles. La recherche, à la fois qualitative et quantitative s’appuie sur une enquête auprès de 540 ouvriers
  • et sur une dizaine d’entretiens avec les acteurs de la protection sociale. Elle montre d’une part, que la couverture maladie dans le secteur du bâtiment est très faible (environ 5%) et la prise en charge assez limitée (soins primaires), et d’autre
  • part que le régime sénégalais de prévoyance santé à travers la Caisse de sécurité sociale, les Institutions de Prévoyance Maladie (IPM) et les mutuelles de santé, connaît de nombreux dysfonctionnements qui l’empêchent d’être efficace et viable. L’étude
  • révèle que globalement les ouvriers du bâtiment ne connaissent pas la sécurité sociale ; ils ont recours aux structures publiques de santé en cas de maladies ou d’accidents. Toutefois, ils sont conscients des risques dans leur métier et utilisent
  • largement des équipements de protection lorsque ceux-ci sont mis à leur disposition. Enfin, les ouvriers sont les principaux financiers de la santé dans le ménage. Cependant, à cause de la faiblesse de leurs revenus et du coût de la couverture santé, ils