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  • Le métissage culturel comme générateur d’ambiances et de formes urbaines spécifiques : les quartiers de Capaci Piccolo et Capaci Grandi à Sousse, à la croisée des cultures ambiantales et urbaines italienne, française et tunisienne
  • La colonisation et l’immigration créent des espaces dits de l’entre-deux, des « espaces in-between », où les limites et les frontières entre identités et cultures sont remises en question, où sont générés de multiples métissages. Dans le cadre de
  • notre recherche nous nous sommes intéressé plus particulièrement à deux quartiers situés en Tunisie, dans la ville de Sousse, dont les noms sont Gabadgi El Foukani et Gabadgi Loutani , ou en sicilien « Capaci Supra e Capaci Jusu ». Ces deux quartiers
  • portent le nom d’une localité sicilienne, Capaci. Le plus intéressant des faits est que ces lieux ont été construits et occupés par des populations mélangées, majoritairement siciliennes issues de l’immigration. Mais il y avait aussi d’autres communautés
  • attention sur la relation entre les ambiances, l'espace public urbain et la notion de métissage. La vérification de l'hypothèse d'une persistance de caractéristiques ambiantales spécifiques constitue un réel enjeu scientifique pour cette recherche. Nous
  • avons choisi la notion de métissage plus qu’une autre forme de mélange étant donné qu’elle se présente comme une pensée temporelle. Nous avons par conséquent été mené à interroger les ambiances des quartiers en appréhendant le métissage comme devenir
  • bien diversifiées du point de vue des nationalités et des croyances. Ces quartiers ont ensuite été progressivement réinvestis par une population exclusivement tunisienne.Le contexte historique et social de ces quartiers, nous a conduit à porter notre
  • L'habitat traditionnel en Tunisie : spécificités, usages et devenir : le cas de la ville de Kairouan
  • Cette recherche doctorale soulève la problématique de conservation et d’intégration de l’habitat traditionnel en Tunisie et sur Kairouan. Il s’agit de mettre en valeur les spécificités de ce patrimoine mondial en péril, d’explorer les facteurs qui
  • l’élaboration d’un corpus diversifié, jugé nécessaire pour mener à bien cette recherche à savoir le diagnostic, l'analyse AFOM, l’état des lieux ainsi que l’enquête de terrain (questionnaires et entretiens) auprès des habitants, responsables et experts de la
  • gestion de l’habitat traditionnel en Tunisie. Une lecture croisée de ces outils méthodologiques, permet, entre autres, de mettre en lumière l’état de ce bâti, et de réfléchir sur les conditions qu'il conviendrait de réunir pour faire en sorte que les
  • décideurs, acteurs locaux et habitants s'intéressent à ce patrimoine et le prennent en main dans un cadre d'accompagnement politique, économique, social et financier. L'objectif de ce travail de thèse est donc d’étudier l’habitat traditionnel de la ville de
  • Kairouan, dans tous ses aspects (urbain, architectural et social, etc.), de comprendre les causes de sa dégradation et de proposer, dans un contexte national et local spécifique, les conditions et les outils stratégiques à mettre en place afin de garantir
  • une meilleure gestion de cet habitat, dans une approche intégrée et participative, afin d’aider à une fixation des habitants dans leur milieu de référence. Ce travail de recherche ainsi que les potentialités et les perspectives qu’il envisage, se veut
  • Université des lettres, arts et sciences sociales - Tunis I
  • Les colonies de l'industrie en Algérie : histoire et patrimoine de la cité minière de Béni-Saf (Mokta-El-Hadid, XIXe-XXe siècle)
  • Mine de fer
  • Les cités ouvrières d'origine minière voient le jour en Algérie dans la seconde moitié du XIXe siècle. Elles sont le fait d'une industrie extractive de fer mise au point par la colonisation pour soutenir le développement industriel sidérurgique en
  • France. Grâce au minerai pur Algérien, Mokta-el-Hadid devient une puissante compagnie minière qui n'hésite pas à réorganiser le marché du fer en France. Le patronat français qui importe en Algérie ses moyens de production, importe par la même occasion ses
  • architectures et ses modes d'habiter. Ce travail de thèse propose une réflexion approfondie sur l'histoire de l'industrie minière coloniale en Algérie et son mode d'établissement urbain. Il évoque les conditions pratiques et idéologiques des modalités d'action
  • du patronat colonial sur les groupes sociaux et leur espace de vie. Les cités ouvrières, construites en Algérie entre 1870 et 1940, répondent à des considérations à la fois économiques, structurées par une morale patronale et coloniales, marquées par
  • un établissement pérenne d'une population ouvrière européenne en Algérie. L'analyse de l'espace urbain de la cité minière de Béni-Saf, dans le nord-ouest algérien, montre une intéressante richesse de typologie de bâti. Sa morphologie urbaine est
  • largement marquée par les articulations entre la reproduction de l'organisation du travail dans la mine, le développement des forces ouvrières et la prégnance de l'idéologie colonialiste. L'urbanisation accélérée de l'ère post-coloniale marque encore plus
  • Du tourisme informel à la mise en tourisme d'un littoral. Les effets spatiaux. Cas de la région littorale d'Azeffoun (Kabylie occidentale, Algérie).
  • La thèse porte sur le tourisme interne dans la société algérienne, en focalisant l’attention sur les effets spatiaux. La région étudiée correspond à la bande littorale qui s'étend, dans la partie occidentale de la Kabylie, de part et d'autre de la
  • armature à l'occupation de l’espace, avec de nouvelles formes de production du cadre bâti. Les facteurs à l'origine de cette urbanisation sont multiples et ils sont générés particulièrement depuis que la région est devenue une destination très fréquentée
  • par les populations touristiques, principalement par les nationaux et les émigrés pour des séjours de vacances, notamment en période estivale. Beaucoup de signes montrent que le tourisme est le principal facteur dans les nouvelles formes d’occupation
  • littorale d'Azeffoun se repèrent sur de multiples plans. D'abord, dans le choix des sites d'installation :la construction d'un nombre important d'infrastructures touristiques – hôtels, restaurants, résidences touristiques, maisons à location touristique
  • caractérise aujourd'hui la région rappelle beaucoup celle propre aux espaces touristiques en zones littorales. Les nouvelles constructions se distinguent par : la géométrie des façades où nous voyons un jeu de décrochements dans la volumétrie avec de larges
  • baies. L'usage de nouveaux matériaux de construction, particulièrement ceux qui sont utilisés pour les ornements (pierre taillée, verre, tuiles, bois, etc.).Généralisation des grandes terrasses, des balcons, des loggias et des toits en tuiles. Ensuite
  • L'ambiance comme enjeu politique dans l'espace public de Tunis lors du processus révolutionnaire
  • Cette recherche questionne le partage de l’ambiance urbaine par le biais du climat politique. Menée tout au long d’une période exceptionnelle de l’histoire de la Tunisie, elle interroge l’impact de la révolution tunisienne sur le partage du sensible
  • dans l’espace public urbain. Ce travail repose sur l’hypothèse qu’il y a une mutation ambiantale, engendrée par le processus révolutionnaire, qui s’opère dans l’espace public urbain de Tunis et dont découle de manière sous- jacente un nouveau partage du
  • pluridisciplinaire (approche sensible et qualitative in situ tel que le parcours commenté, la réactivation par l’image,… et une documentation bibliographique sous divers formats tels que les documentaires, les films, les journaux, les ouvrages,…) appliquée à des
  • tissus urbains aux configurations spatiales et aux compositions sociales différentes, mais tous situés dans le Grand Tunis. Au terme de cette recherche, nous avons pu relever une territorialisation des comportements urbains où le facteur politique
  • intervient directement pour définir autant le domaine du permissif que de l’interdit dans l’espace public. Ainsi, l’ambiance urbaine n’est pas seulement témoin d’un bouleversement politique, elle en est aussi le porteur et l’enjeu. En mettant au jour ce qui
  • sensible. Une question fondamentale se pose alors: Quel rôle joue la situation politique dans la définition et la caractérisation de ce nouveau partage su sensible? Pour répondre à cette interrogation, nous avons mis en place une méthodologie
  • replace la ville au cœur de la réflexion et l'envisage d'abord et avant tout comme un construction sociale. Il s'agit ainsi d'interroger les catégories spatiales utilisées dans les sources mais également de mettre à l'épreuve nos concepts contemporains, et
  • statut est d'abord appréhendé, dans une première partie, à travers les représentations dont la ville est l'objet dans l'historiographie abdelwadide mais aussi dans celles des autres dynasties maghrébines et, au-delà, en al-Andalus, dans les États latins
  • de la péninsule Ibérique ou dans l'Orient islamique. La seconde partie de l'étude se penche ensuite sur les pratiques et les acteurs sociaux qui façonnent au quotidien la capitale : le pouvoir politique, les saints et les savants et, à travers l'étude
  • d'un traité de hisba, certains groupes sociaux tels les femmes ou les dimmi-s. La troisième et dernière partie replace enfin la capitale dans un espace régional puis global afin de préciser de quel royaume Tlemcen a été la capitale et d'analyser les
  • Depuis les travaux menés à l'époque coloniale, Tlemcen (Algérie) n'a plus été prise comme objet d'étude à part entière, l'historiographie ayant privilégié une perspective d'histoire politique et événementielle à l'échelle d'un royaume. Ce travail
  • tout particulièrement celui de capitale. En effet, la chute de l'Empire almohade dans la première moitié du VIIe-XIIIe siècle entraîne l'émergence de nouveaux pouvoirs au Maghreb et Tlemcen devient alors la capitale du royaume abdelwadide. Ce nouveau