Face aux hypothèses de mobilité généralisée de la société et d’affaiblissement de la dimension territoriale, il est démontré dans cette recherche l’importance du territoire de proximité – la maison et le quartier – en tant que support, et lieu
personnel et stratégique permettant aux individus de surmonter les tensions qu’entraîne la modernité. Les individus sont, en effet, à la recherche d’un équilibre oscillant entre nomadisme et ancrage. Ainsi, il apparaît que la mobilité, bien loin de s’opposer
approfondis avec les habitants de ces quartiers. Il est avancé dans ce travail que ces derniers cherchent à s’insérer socio-spatialement en s’inscrivant dans la proximité afin de faire face à une exigence toujours plus forte de mobilité. A cette fin, il est
type vertical. Ainsi, il existe un élevé degré de dépendance à l'égard des capitales régionales, ce qui organise un réseau monocentrique à l'intérieur de chaque espace régional, où il serait encore possible de trouver des villes isolées. Le degré de
, spatiales, etc.). L'articulation avec le contexte local dans lequel ils sont censés intervenir, révèle les limites des politiques publiques, particulièrement en milieu rural.
des enfants jusqu'à l'âge de cinq ans. Loin des caractéristiques intrinsèques des quartiers informels, le contexte géographique externe joue-t-il un rôle dans l'état de santé de ces habitants ? Existe-t-il une influence du système de soin de la ville
/ou transformation et les conditions de la territorialisation des politiques publiques à travers la réforme de la gestion des déchets. Définissant ce service public comme « réseau mou », nous postulons qu’il a des caractéristiques propres à modeler le
: (« l’humain habite en poète », poème : «Terre et ciel»), la représentation de la perception de l’espace de l’habiter remet la question : l’humain habite-t-il en poète à Guelma ? Sur cette perspective se constitue le fondamental de cette thèse qui fait du monde