L'A. tente d'évaluer la carte politique tunisienne à partir des élections législatives de 1989 et les solutions envisagées par le gouvernement pour endiguer le danger islamiste. Il n'a pas été possible d'établir une phase transitoire entre une
chambre monocolore et une assemblée pluraliste. L'A. étudie la géographie de l'implantation islamiste (urbaine, côtière et populaire) qu'il compare aux implantations universitaires. Echec de la politique de démocratisation.