Biographie de H. Berghaus et du travail cartographique qu'il effectua pour la Prusse, après la formation qu'il suivit en France, les cinq années où il fut ingénieur-géographe.
Le strade di grande communicazione della Toscana verso il 1790.
Il s'agit d'une reconstruction précise et détaillée des grandes voies de communication, appelées routes royales, construites et modernisées selon un plan cohérent et fonctionnel du gouvernement grand-ducal| celui-ci était très intéressé par une
A propos du centenaire de la naissance de ce savant, à la fois géomorphologue, géographe et théoricien de la géographie. Adepte de la théorie davisienne des cycles il l'a marquée de sa pensée propre, et exprimée dans le Vocabulaire franco-anglo
-allemand de géomorphologie. S'il a tenu à l'étude de paysages à l'échelle moyenne pour lesquels il revendique la stabilité, il n'a rien ignoré des tendances, alors nouvelles, de la géomorphologie quantitative et de l'étude des processus. Même si certaines
Cet ouvrage rassemble une importante documentation, jusque là dispersée. Il repère les traces-fragmentaires il est vrai-de la culture du riz dans la Préhistoire, puis étudie les transformations de la culture des temps pré-coloniaux aux temps
Vie et oeuvres de ce spécialiste de la pédologie (1877-1930). Ses premiers travaux furent consacrés à l'étude des sols de steppe et steppe boisée dans la partie européenne de l'URSS| puis il fit des recherches géographiques et pédologiques en
Extrême-Orient (dans la région de l'Amur et dans le Primorie), où il étudia avec beaucoup de soin les sols développés dans le cadre de la merzlota, il y organisa des observations météorologiques, et analysa les possibilités agricoles de la région. Il fit
une expédition dans la presqu'île de Kola pour des recherches pédologiques et botaniques. Ses travaux ont permis d'établir la première carte pédologique de l'Extrême-Orient (1925) et il participa à l'établissement de la première carte pédologique
Après les importantes recherches réalisées sous la direction de E. Le Roy Ladurie, il semble possible d'arriver à une meilleure connaissance du climat des derniers siècles. Les Services météorologiques officiels nationaux sont mis en place entre
1850 et 1870| dès le milieu du XVIIsiècle, les sociétés savantes (impulsion de Descartes, Hooke, Jurin) multiplient les notations d'observations méthodiques. Dès lors il est possible d'établir des périodes climatiques. Pour travailler avec plus de
précision l'A. souhaite l'établissement de cartes météorologiques synoptiques journalières dont il donne un exemple. (FG).
Il n'existe pas encore de recueil systématique des observations météorologiques contenues dans les textes et qui devraient être soumises aux règles propres à l'histoire de cette période. De tels recueils seraient très utiles, l'inégalité des séries
devant être compensée (selon H. H. Lamb), par la relative périodicité des faits climatiques anormaux. L'A. a tenté un tel travail pour la période 1000-1400 dans les limites spatiales qu'il indique: il aboutit à dessiner les grandes lignes d'une évolution
Commentaire du livre de George R. Stuart (né en 1895): Les noms sur le globe terrestre (1975)| il est divisé en quatre parties: 1l'homme créateur de noms| 2le psychisme du créateur de noms| 3l'activité des créateurs de noms| 4les noms géographiques
comme source de connaissances. L'A. a commencé par une étude très poussée de la toponymie américaine et l'a ensuite étendue aux pays d'Europe (il regrette de ne savoir ni le russe ni le japonais)| il ne s'intéresse pas seulement au fait linguistique
A égale distance d'un excès de culte et d'un excès de dénigrement, il convient de replacer Lyell dans le milieu intellectuel de son temps. Si le principe d'uniformité paraît avoir été énoncé avant lui, il l'a systématiquement appliqué, rapprochant
la géologie de l'histoire (relations avec Niebuhr), rejoignant Cuvier qu'il admirait (restaurer les monuments des révolutions passées) voire Champollion (déchiffrer les caractères démotiques dans lesquels la nature écrit ses plus curieux documents) et
La dette des géographes vis-à-vis de Lapparent est considérable et les plus grands ont reconnu ce qu'ils lui devaient. Un des premiers il a su ouvrir la géographie traditionnelle aux sciences de la nature et faire accepter cette petite révolution
par le public universitaire. Il est aussi à l'origine de la méthode régionale et Vidalde laBlache, Gallois, Demangeon, deMartonne... ne feront qu'enrichir et développer les concepts de pays et de région naturelle. Comme Schrader ou Margerie, Lapparent
GeorgSchweinfurth (29-12-1836/19-9-1925) fut l'un des plus importants explorateurs allemands de l'Afrique. Il a beaucoup voyagé dans l'Afrique du Nord-Est et dans la région du Nil Blanc. En 1875, il fonda la Société de Géographie d'Egypte. Ses
Znal-li Kolumb o plavanijah Vikingov v Novyj Svet? Christophe Colomb avait-il eu connaissance des expéditions vikings dans le Nouveau Monde?
L'étude de la biographie de Ch. Colomb, sortie à Venise en 1571 et attribuée à son fils, prouve que rien ne permet de confirmer cette opinion. Rien n'authentifie non plus le séjour de Colomb en Islande, où il aurait pu avoir des informations sur ces
voyages et entendre parler du Vinland. Même s'il avait pu avoir des informations fragmentaires sur ces navigations effectuées par les Normands 500 ans avant lui, elles ne lui apportèrent aucune aide pratique, car les 4 voyages de Colomb vers le Nouveau
Primer centenario de la muerte de GuillermoSchulz, 1877-1977
D'origine allemande, Schulz a travaillé sur les régions d'Asturies et Santander dont il a établi de façon définitive la géologie et la géographie. (JLG).
Le savant historien de la cartographie, R. V. Tooley, interrompt malheureusement la publication de la collection: Map collectors'series (dernier n, 110, publié en 1975, voir la 81 Bibl. 1975, AIb-c20). Il fonde à la place cette nouvelle revue qui
de marchands de cartes et des catalogues de documents qu'ils proposent. Tous ces éléments très utiles, dispersés jusqu'alors, sont heureusement ainsi regroupés à la fois pour le collectionneur et le bibliothécaire. (LL).
Les toponymes d'Hokkaido sont difficiles à lire et bien souvent de nature différente de ceux du reste du Japon. Ils sont généralement écrits en kanji ou en idéographes adaptés à une prononciation ainu. Analyse, donc, des règles toponymiques de la