inscription
Portail d'information géographique

Résultats de la recherche (69 résultats)

Affinez votre recherche

Par Collection Par Auteur Par Date Par Sujet Par Titre Par ville ? Par pays ? Par continent ?
  • révèle que globalement les ouvriers du bâtiment ne connaissent pas la sécurité sociale ; ils ont recours aux structures publiques de santé en cas de maladies ou d’accidents. Toutefois, ils sont conscients des risques dans leur métier et utilisent
  • largement des équipements de protection lorsque ceux-ci sont mis à leur disposition. Enfin, les ouvriers sont les principaux financiers de la santé dans le ménage. Cependant, à cause de la faiblesse de leurs revenus et du coût de la couverture santé, ils
  • sont pratiquement dans l’impossibilité de souscrire à une assurance. Ils préfèrent payer les mêmes prestations dans les structures publiques de santé à des coûts moins élevés.
  • a nécessité la création de plusieurs structures publiques. Dans ce dispositif, l'Etat intervenait depuis la programmation jusqu’à la commercialisation des logements et la gestion des ensembles immobiliers réalisés. Il assurait par ailleurs la mise en place des
  • infrastructures et des équipements socio collectifs. Mais suite à la crise économique des années 1980 il passe le relai au secteur privé et se cantonne à stimuler l'initiative privée et à moderniser les mécanismes de financement du secteur de l’habitat. Dès lors
  • l’agglomération Abidjanaise depuis les années 1980 et leur impact sur l’espace urbain. Il met en lumière les opérations immobilières en insistant sur leurs dimensions spatiale, qualitative et quantitative.
  • Ce travail propose une ethnographie de la folie à Yaoundé dont la perspective est celle d'une sociologie phénoménologique. Plus simplement, il décrit les médiations, les modalités et l'opérativité de la réalité sociale qu'est la folie; il essaye de
  • savoir: la «rue », la clinique et le politique. Ils suggèrent non seulement les scènes, notamment dans l'espace public, où se manifeste le phénomène de la folie par exemple par des pratiques de dénudation, d'exposition corporelle sur des modes obscènes et
  • le produit d’un dialogue entre Européens et indigènes. Ainsi, entre 1862 et 1962, il est possible de parler de chemin « franco-musulman » parcouru par les musiques d’Algérie ; chemin qui contribue à modeler leur forme et qui révèle que la portée
  • plus significatif dans le champ d’une histoire culturelle de la France : il révèle – contre toute attente ? – qu’en France, le multiculturalisme n’est pas une fonction de l’impérialisme. Considérer un instant qu’Alger n’est pas foncièrement « coloniale
  • » entre 1862 et 1962, reconnaître qu’elle a un temps partagé le destin de l’hexagone et constater qu’elle est un lieu d’application d’une politique culturelle de la diversité interroge le jacobinisme français, dont on répète pourtant à l’envie, qu’il est
  • Face aux hypothèses de mobilité généralisée de la société et d’affaiblissement de la dimension territoriale, il est démontré dans cette recherche l’importance du territoire de proximité – la maison et le quartier – en tant que support, et lieu
  • personnel et stratégique permettant aux individus de surmonter les tensions qu’entraîne la modernité. Les individus sont, en effet, à la recherche d’un équilibre oscillant entre nomadisme et ancrage. Ainsi, il apparaît que la mobilité, bien loin de s’opposer
  • approfondis avec les habitants de ces quartiers. Il est avancé dans ce travail que ces derniers cherchent à s’insérer socio-spatialement en s’inscrivant dans la proximité afin de faire face à une exigence toujours plus forte de mobilité. A cette fin, il est
  • Les villes africaines croissent en population d’au moins 5% l’an et dépassent fréquemment 7% l’an. Or, lorsqu’une ville croît au taux de 7% annuellement, elle double sa population tous les dix ans. Cela signifie qu’il faudrait doubler la capacité
  • articuler les enjeux stratégiques à l’agir local Il faut donc relier les documents d’urbanisme et les documents complémentaires (schéma de drainage, commercial, de transport…).
  • Dans les villes moyennes de Garoua et Maroua, au Nord et à l’Extrême Nord du Cameroun, on dit des «chefs», soit des détenteurs de l’autorité à l’échelle d’une famille, d’un quartier, de la cité ou autrefois d’un royaume, qu’ils doivent être «comme
  • des grands tas d’ordures». Ce proverbe situe ainsi les relations de pouvoir et l’exercice de l’autorité dans un rapport particulier avec la gestion des déchets : le chef doit se montrer patient et hiératique comme un grand dépotoir, lorsqu’il reçoit
  • toutes les insultes et les plaintes de ses sujets comme autant d’immondices ; mais, selon un registre ésotérique développé par les religions locales puis repris dans le cadre musulman, on attend aussi qu’il fasse preuve de la même puissance, magique
  • l’Afrique Centrale, sont couverts par des produits importés. Les produits locaux ne jouent qu’un rôle secondaire dans cette activité : ils ne concernent que 20 % de l’offre alimentaire présente dans les marchés du pays. Face au quasi-monopole de ces circuits
  • , maraîchères et fruitières. Cet état des lieux révèle une forte dépendance alimentaire de la capitale Libreville à l’égard du Cameroun (banane plantain, taro, oignon, atanga ou safou et avocat), des Pays Bas (oignon) et des pays asiatiques (riz). Il met aussi
  • en évidence les principaux obstacles au développement de la production des denrées locales. Ces dysfonctionnements sont identifiés d’un bout à l’autre de la filière des produits alimentaires étudiés. Ils concernent le travail du producteur, du
  • vision des centres urbains contribue à l’amplification de l’exode rural dans ces régions, où la macrocéphalie reste une réalité. À l’instar de beaucoup de pays de l’Afrique subsaharienne, il existe un déséquilibre de la hiérarchie urbaine au Mali. Bamako
  • urbaine de la ville de Bamako a augmenté de 7290 ha. Elle est passée de 17 % et 1986 à 32 % en 2014. Durant cette période, il y a eu beaucoup d’aménagements dans le District de Bamako. Mais elle a été marquée davantage par le développement remarquable de
  • foncière de Bamako se traduit par une rurbanisation des communes environnantes. À partir de l’analyse de la dynamique spatiale de Baguinéda, Sanankoroba, Siby et Dio-gare, il s’est avéré que la plupart des communes environnantes de Bamako étaient quasiment
  • la propriété du logement. Les défis auxquels la capitale malienne fait face sont nombreux. Parmi les défis majeurs, il y a l’accès à un logement décent, aux équipements et services urbains au sein de la ville. Les programmes urbains en cours ne
  • en Sociologie et plus précisément dans le domaine du cinéma au Gabon. A cet effet, nous avons relevé par le biais des programmes cinématographiques des chaînes de télévision, de la salle de l’Institut Français du Gabon et des vidéoclubs qu’il existe
  • un panorama de films mondiaux (Américains, Français, Nigérians, Ivoiriens, Mexicains et Gabonais etc) qui circulent dans ce marché. Par ailleurs, il était aussi capital pour nous, de démontrer que la population gabonaise ne subit pas la mondialisation
  • sociale dont ils sont victimes dans leur lieu de sédentarisation et les mécanismes qu’ils mettent en place pour construire leur citoyenneté, en contournant les restrictions mis en place par la communauté d’accueil.
  • administrations qui gèrent la ville selon des stratégies différentes. L’Empire ottoman n’a pas été inclus dans la recherche parce qu’il aurait nécessité une étude à lui tout seule. Une approche diachronique n’aurait pas permis une analyse du développement urbain
  • la réimplantation moderne se superposent avec une densité exceptionnelle d’occupation des sols. Le mot block relève du cadastre et n’a pas de signification morphologique: pour cette raison, il sera toujours en italiques. La thèse analyse la
  • rotation du distribution élaboré par l’A.D.E. Pour résoudre le problème de la pénurie d’eau; il a fallu attendre l’intervention de l’état algérien par la réalisation d’un grand projet d’adduction en transférant des eaux fossiles (albienne) du bas Sahara
  • vers la ville de Tamanrasset (700 km). Il est à signaler que ce passage d’une gestion de pénurie vers celle d’abondance reste un défi qui nécessite plus de moyens et d’attention. D’une manière plus précise, le travail que nous avons mené concerne les
  • . Ainsi, le territoire devient avant tout un processus et pas simplement un espace contenant des phénomènes physiques, économiques, sociaux ou culturels. C'est l'ensemble complexe de toutes ces articulations qu'il faut analyser et ceci demande un regard
  • ample et diversifié. Dans un second temps, l'approche géohistorique offre une opportunité pour mettre en question les perspectives d'un territoire à la fois réel et imaginaire, tel qu'il se déroule à travers des plans, des discours et des projets, mais
  • type vertical. Ainsi, il existe un élevé degré de dépendance à l'égard des capitales régionales, ce qui organise un réseau monocentrique à l'intérieur de chaque espace régional, où il serait encore possible de trouver des villes isolées. Le degré de
  • , la vétusté des infrastructures et le difficile accès aux moyens de transport sont des problèmes récurrents pour les populations. Parmi les catégories le moins mobiles, il y a les pauvres, femmes, les personnes âgées, etc. Les habitants des quartiers
  • périphériques sont les plus défavorisés : ils se déplacent peu et sont donc faiblement intégrer à l'ensemble de la ville. Le tarif de la course élément fondamental du coût de déplacement influence beaucoup le choix de tel ou tel moyen de transport (taxi tête
  • celle existant dans les provinces et les régions d’où proviennent les migrants ? Le tourisme de masse est-il responsable de ce phénomène de paupérisation ? Le tourisme durable peut-il renverser cette tendance ?
  • d’individualisation temporaire. Ainsi les bakoroman se présentent-ils comme de simples aventuriers « à la recherche de l’argent ». Leur position souvent fragile au sein de leur lignage d’origine, aggravée par un mode de vie désormais marqué par l’illégalité et la
  • déviance, rend cependant invraisemblable la possibilité de ce retour réussi qui transformerait leur départ souvent chaotique en une expérience d’affirmation individuelle. Lorsqu’ils atteignent finalement l’âge de s’établir, les bakoroman comprennent que la
  • Au Sénégal les risques naturels constituent une préoccupation majeure. Au regard des deux dernières décennies, ces phénomènes ont connu une réitération grandissante. Ils affectent presque toutes les régions du pays, particulièrement Dakar et sa
  • être extraits les seuils de précipitations et ceux météo-marins à partir desquels il y a eu des dégâts; 2) caractériser les facteurs responsables des aléas en faisant la part des facteurs de prédisposition, des facteurs de déclenchement, mais également
  • villes américaines, berceau des mouvements de revendications. Deux localités situées dans la baie de Hann sont choisies en raison des pollutions industrielles dont elles souffrent. Il s’agit de Hann-Bel-Air et de Thiaroye-Sur-mer. Partant de l’analyse des
  • nuisances environnementales liées à la pollution industrielle, il s’agit de montrer l’importance de la « contextualisation » dans l’étude des injustices environnementales au regard des dynamiques socio-spatiales, mais aussi des perceptions face aux