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  • P. Denis a exploité de manière originale les préceptes de Vidal de la Blache : comme son maître, il est sensible au poids des contraintes naturelles, mais il montre comment les techniques de production et de relations conduisent les groupes à
  • surmonter ces obstacles. L'interpétation de la géographie humaine qu'il propose est dynamique, comme le montrent ses études sur l'Amérique latine (Brésil et Argentine).
  • Les géographes déterminent la part que l'homme a pris dans le façonnement des milieux naturels. Ils s'attachent à montrer comment les formes des paysages reflètent leurs fonctions présentes ou leur rôle passé. Ils s'interrogent sur la dimension
  • L'A. s'interroge sur les sources de la connaissance géographique, sur la manière dont elles sont traitées et la nature des opérations que l'on fait subir aux données. Il analyse la portée pédagogique de l'utilisation des images (photographies
  • , dessins, cartes), des données numériques et des textes. Le document ne permet pas tout: il importe donc de connaître les limites de ce que l'on peut en attendre et de réfléchir aux différents niveaux où l'on peut l'utiliser.
  • Examen du passé militaire du Canada, à la lumière des connaissances de la géographie. Le rôle du pays a changé dès les premières décennies du 20e siècle, car il est devenu un partenaire actif en gagnant un statut nouveau de grande puissance
  • . Actuellement, le pays n'a plus autant de raisons d'être choyé par les Etats-Unis et l'ensemble de ses partenaires de l'OTAN. Il s'intègre de plus en plus au sein d'un espace unifié nord-américain.
  • Les situations de conflit sont peu prises en compte par la géographie politique classique. Il convient de se tourner vers la géostratégie. L'A. propose une démarche : dresser le bilan des forces économiques et humaines en présence, montrer les
  • champs stratégiques, analyser le jeu des alliances ou dissuasions, enfin, analyser les conditions dans lesquelles on décide de recourir à la force. Pour oeuvrer à la paix, il importe de bien comprendre comment naissent les conflits.
  • Né en 1932, l'A. retrace son itinéraire intellectuel, de la géographie économique à la géographie politique, culturelle et à l'histoire de la géographie, à travers les postes qu'il a occupés, de Toulouse où il a étudié et enseigné, à Paris-Sorbonne
  • l'économie. Ces insuffisances intellectuelles sont développées ensuite : l'A. traite de la notion de classe sociale, de la place faite à l'espace, du poids de la confusion entre sciences sociales et idéologie. Il évoque à chaque étape les solutions
  • différentes qu'il a été amené à proposer.
  • l'idéologie et la science, notamment les sciences sociales. Il souligne le caractère à la fois nécessaire et ambigu de ce rapport.
  • : le modèle européen de la communauté nationale spatialement circonscrite et cimentée par la langue, ou le modèle américain d'une société pluraliste à langue unique. Est-il bien nécessaire de choisir?.
  • géographie étendues aux domaines sociaux et politiques, et intègre les ‘tournants’ que la discipline ont connus au cours des trente dernières années. Le pouvoir prend plusieurs visages : il mobilise la force et exploite la menace qu’elle fait peser, ou repose
  • sur la légitimité ; il s’appuie sur la domination économique et l’influence idéologique. La coercition impose des décisions à des individus réticents, ce qui implique une surveillance permanente. Une autorité acceptée fonctionne à moindres coûts. Les
  • et français entre 1870 et 1914. Il évoque plus succinctement d'autres situations: celle de la france d'après 1919 et celle des Etats-Unis à partir de la Seconde Guerre mondiale.
  • L'ouvrage retrace l'émergence et l'évolution de la pensée géopolitique et ses raopports avec la géostratégie. Il présente un siècle de réflexion sur l'espace, la force et l'Etat dans le cadre des relations internationales. Adaptant une démarche
  • Après un rappel de l'histoire des idées sur les relations entre l'homme et son environnement, l'A. considère qu'il est impossible de maintenir la fiction de la géographie discipline unitaire du monde physique et du monde social... les cadres qui
  • L'A. se demande ce que l'épistémologie peut apporter à une discipline comme la géographie. La perspective retenue analyse le travail des chercheurs et la manière dont ils avancent dans leur connaissance du monde. L'accent est donc mis sur les
  • de communication et rendent inutile la hiérarchie complexe qui caractérisait encore il y a une génération les systèmes de villes. Les fonctions économiques de celles-ci ont tendance à se concentrer dans les plus grandes d'entre elles : c'est ce
  • Quelques livres ont renouvelé récemment l'histoire de la géographie, notamment en France. Ils précisent le rôle de quelques-uns des fondateurs de la géographie, et insistent sur l'institutionnalisation de la discipline. Rôle de la cartographie
  • différents aspects de l'analyse. Il note que les progrès récents de la réflexion sur l'espace proviennent d'un enrichissement indubitable de la problématique: la prise en considération de la transparence éclaire les faits de centralité et souligne
  • Pour les géographes, dont les positions reflètent et modèlent l’opinion publique, l’idée du déclin de l’Europe, apparue aux alentours de 1900, devient un thème de réflexion majeur à la fin de la Première Guerre mondiale. Il disparaît de la Seconde
  • lui donne un sens. Comme science, la géographie reprend et développe ces savoirs entre l’Antiquité grecque et le milieu du XXe siècle. Il faut attendre le tournant culturel pour qu’elle s’interroge aussi sur la manière dont nous vivons l’espace. Le