Le cyberterrorisme est mentionné depuis plus de dix ans comme un des dangers majeurs du cyberespace. Il sert à justifier nombre de mesures de surveillance généralisée du cyberespace. Pourtant, l’expérience ne donne aucun exemple de cyberterrorisme
: il semble bien qu’il s’agisse plus d’une représentation servant à légitimer une politique de domination des réseaux. Les États-Unis sont les premiers à développer une telle attitude. Cela ne signifie pas pour autant que les terroristes n’utilisent pas