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  • ceux qui y vivent et l'étude des pouvoirs qu'ils acceptent et ceux qu'ils combattent, en raison de l'histoire qu'ils se racontent à tort et à raison, de leurs craintes et des représentations qu'ils se font d'un passé et de l'avenir. Une étude de cas, le
  • prolonger, sur les réseaux, les grandes postures géopolitiques qui caractérisent la Russie contemporaine. L'A. étudie le segment russe du cyberespace sous l’angle des représentations territoriales et des rivalités de pouvoir qu’il suscite ou alimente. Il
  • s’agira notamment de montrer qu’il constitue une importante caisse de résonance pour des problématiques qui concernent l’espace postsoviétique dans son ensemble.
  • Le cyberterrorisme est mentionné depuis plus de dix ans comme un des dangers majeurs du cyberespace. Il sert à justifier nombre de mesures de surveillance généralisée du cyberespace. Pourtant, l’expérience ne donne aucun exemple de cyberterrorisme
  • : il semble bien qu’il s’agisse plus d’une représentation servant à légitimer une politique de domination des réseaux. Les États-Unis sont les premiers à développer une telle attitude. Cela ne signifie pas pour autant que les terroristes n’utilisent pas
  • Ranger la Terre. Le nommage des domaines est-il l’expression d’une stratégie des États-Unis de domination des réseaux ?
  • Existe-t-il un droit international du cyberespace ?
  • La cybersécurité est un champ d’études compliqué car de nombreuses informations nécessaires à une analyse objective sont confidentielles. Néanmoins, il est possible de tirer des conclusions précises de données incomplètes, mais cela dépend des
  • les négociations visant un accord international sur la cybersécurité. Il montre que, depuis ces révélations, les positions des États sur la recherche d’un accord international varient selon leurs intérêts respectifs, mais qu’aucun d’eux n’envisage
  • . montrent la pertinence de certaines métriques de flux de données pour mesurer cette activité aujourd’hui essentiellement invisible. Ils analysent le fonctionnement des industries de la collecte de données et, à l'aide de la cartographie des flux de données
  • , ils mettent en évidence les asymétries de connaissance dans cette nouvelle économie.
  • Analyse critique et précise du célèbre article de Mackinder The geographical pivot of history. Alors qu'il n'a jamais employé le terme géopolitique, Mackinder est pourtant toujours considéré comme le fondateur de la géopolitique. Sa notoriété repose
  • importance à une donnée de la géologie et de la géographie physique - l'étendue de la plaque eurasiatique. Il tend pourtant à minimiser le rôle des structures politiques et militaires qui ont rendu possibles la conquête et le contrôle depuis trois siècles de
  • cette période, il faut prendre en compte les mutations du Brésil, devenu aujourd'hui un des grands pays émergents, pour voir à la fois comment a évolué la pensée géopolitique brésilienne et comment le changement de statut du pays se reflète - ou non
  • - dans la vision que les Brésiliens ont du monde qui les entoure et de la place qu'ils y occupent.
  • conflits ouverts. Il y a toujours des rivalités de pouvoir pour prendre ou garder le contrôle d'un territoire en passant par les élections. Ce nouveau champ de la géopolitique a donné lieu à trois gros volumes (1986) dans lesquels une attention précoce
  • était portée au vote Front national. Le deuxième volume est consacré aux nationalismes régionaux. Désormais, ceux-ci paraissent affaiblis ; il n'en va pas de même pour le vote Front national qui s'étend sur l'ensemble du territoire.
  • Alors que le cyberespace est devenu un sujet incontournable des agendas diplomatiques internationaux, il existe peu d’études dédiées à l’analyse de l’adaptation des organisations internationales, et plus particulièrement européennes, à ce phénomène
  • deux plans. Au travers de quelques exemples (Iran, France, Syrie), les AA. analysent les infrastructures de l’Internet. Ils tentent ensuite d’imaginer ce que sera peut-être demain la cybergéographie, discipline visant à étudier spatialement le rapport
  • conflits armés s’applique au cyberespace. Les attaques dans le domaine du cyberespace ne différeraient en rien des autres formes d’attaques et la légitime défense autoriserait les nations à répondre violemment. D’un autre côté, il y a ce que l’on pourrait
  • l’État. L'A. développe les alternatives permettant de désécuriser le cyberespace, de rééquilibrer l’écart entre les peurs et les faits, ce qui permettrait au citoyen-hacker de protéger les différents domaines du Net sans qu’il soit nécessaire de recourir
  • de TEPCO., la compagnie gestionnaire de la centrale nucléaire de Fukushima. Il en résulte un revirement de l'opinion publique japonaise, désormais aux trois quarts hostiles au nucléaire et la polémique autour de la radioactivité. Ses critères de
  • Etats-nations mais elle évolue vers une approche à différentes échelles. De plus, la géopolitique anglo-américaine s'intéresse à de nouveaux sujets comme les diasporas, l'environnement ou le cyberespace. Mais il reste des sujets, notamment dans le
  • localiser des phénomènes qui évoluent très vite, à l'aide des systèmes d'informations géographiques, si l'on veut analyser les rapports de forces dans les territoires. Il faut mieux articuler les apports de la géomatique avec le raisonnement géopolitique
  • L'A. analyse l'évolution des conditions d'exercice de la souveraineté étatique dans le cadre de la mondialisation économique. Il montre que les deux dimentions de la mondialisation - le commerce international d'une part, la circulation des capitaux