archives historiques. Il s’agit notamment de confronter les histoires orales transmises dans les ayllus, recueillies en quechua, avec les documents écrits, de comparer leurs points de vue et versions des faits, et d’interpréter chacune de ces deux sources à
écrits constituent les deux principales sources de cette recherche. Cependant, malgré l’abondance de la mémoire-narrative, on constate également des « trous de mémoire ». La thèse cherche donc aussi à voir si au-delà de la mémoire explicite, il n’est pas