Du modèle migratoire colonial à la circulation mondiale des élites professionnelles
pétrolières ou minières. Les migrants français appartiennent à une élite migratoire, et leur départ s'apparente à des migrations urbaines et qualifiées. La fin d'un modèle migratoire colonial où l'émigration était définitive et produite par la pauvreté, met en
. Ces contributions reposent sur la position ambivalente des migrants japonais à Paris, entre proximité liée à leur statut d'élites migrantes originaires d'un pays du Nord, et distance inhérente à une migration lointaine.