O nezavisimosti sootnosenija mezdu velicinami transpiracii i massy hvoi u sosny obyknovennoj ot pogodnyh uslovij. (Le rapport entre les valeurs de l'évapotranspiration du pin sylvestre et de sa masse d'aiguilles est-il indépendant des conditions
Observations effectuées dans une forêt de pins dans l'oblast d'Orenburg de 1946 à 1970. Il existe une relation linéaire entre la masse et l'évapotranspiration. Mais l'A. compare l'évapotranspiration et les précipitations sans tenir compte de la
Sovremennoe sostojanie kedrovyh lesov i puti ih racional'nogo ispol'zovanija. Tezisi dokladov k sovescaniju.. (Etat actuel des forêts de pins et façon de les exploiter rationnellement. Rapports destinés à une conférence)
(1979) ; Exploitation rationnelle ; Forêt ; Géographie de l'Europe ; Pin ; Renouvellement ; URSS
Cet ouvrage présente les caractéristiques des forêts de pins du Haut Altaj, des oblasts de Novosibirsk et de Kemerovo, d'Extrême-Orient et d'autres régions d'URSS. On y trouvera des recommandations pour assurer l'exploitation rationnelle et le
renouvellement des forêts de ce type. (R.Z., 1979, 11E22).
Etudes sur la végétation du Massif Central. III. Place du Pin sylvestre dans le climax du Hêtre en Margeride
Bioclimatologie ; Dynamique de la végétation ; Forêt ; France ; Géographie de l'Europe ; Hêtre ; Margeride ; Massif Central ; Pin sylvestre ; Synécologie descriptive ; Végétation
La Margeride est pour la majeure partie sous la dépendance du climax du Hêtre. Toutefois le Pin sylvestre tient dans le paysage une place très largement prépondérante due à ses caractères d'héliophyte (rôle de pionnier)| dans la végétation
Arctique ; Carbone ; Datation ; Finlande ; Forêt ; Géographie de l'Europe ; Holocène ; Isotope ; Laponie ; Lappi ; Limite de la végétation ; Paléobiogéographie ; Paléoclimatologie ; Pin ; Quaternaire zones froides
Les données collectées depuis les premières observations scientifiques sur le retrait des forêts de pins sont confrontées aux datations C de 44 échantillons de pins sub-fossiles à la limite forestière. Malgré une dispersion des âges de 7000 B.P. à
finlandaise. Les résultats correspondent aux analyses polliniques qui indiquent une extension du pin vers 8500-7500 B.P. avec un maximum vers 7500-5000 B.P. suivi d'un retrait jusqu'à nos jours.
Les études polliniques effectuées sur la gyttja du lac de la Grande Pile dans le Sud des Vosges montrent que la forêt tempérée de l'Eémien (S. S.) (étage isotopique O:5e) a été remplacée par une taïga à pin épicéa-bouleau en l'espace de 15075ans.
L'étude anatomique des sections de racines de pins et genévriers permet de déterminer la date de leur première mise au jour. L'analyse des résultats pour 5 sites montre de fortes différences dans les vitesses d'érosion entre les faces nord (0,56mm
Pins une régression du taux de calcium échangeable et de faibles taux d'azote et d'acides humiques. Le Chêne vert et le Cèdre de l'Atlas occupent une position intermédiaire. (MI).
surtout une taïga vierge. Ce sont surtout les forêts de pins qui sont exploitées, essentiellement dans la région du lac Baïkal. (R.Z., 1980, 6 E 276-277).
. L'arbre le plus répandu est le mélèze, les moins répandus sont le pin et le bouleau. Dans les habitats, où poussent deux espèces et même davantage, se forment des séries homonymes de différents types de forêts: avec lède, airelle et lède, sphaignes
versants sud, secs, poussent des prairies subalpines à brome, fétuque, laiche, ainsi que de la forêt claire de pins sur de petites surfaces. La limite supérieure naturelle de la forêt s'est abaissée à cause des coupes et du pacage excessifs. (MMB).
depuis un demi-siècle. L'A. insiste en particulier sur la compétition entre le Callitris-dominant, le pin d'Alep et le chêne Kermès. De nombreuses fiches d'espèces et un calendrier végétal constituent un apport très appréciable à la connaissance