En Australie, à Madagascar ou en Nouvelle-Zélande peu d'espèces se sont établies dans les forêts mais ces espèces montrent des avantages à court terme qui leur ont permis de coloniser les zones perturbées. La flore autochtone n'est pas plus
vulnérable que les espèces introduites qui ne persistent pas dans la forêt évoluée. Ce sont les coupes pour des raisons agro-pastorales qui favorisent ces dernières. On doit donc rechercher les plantes locales adaptées à la recolonisation des terres