va du règne de Pierre le Grand à la fin du 18e siècle. Il traite successivement : l'exil au 17e siècle, le bagne, l'exil politique, la déportation et les colonies de peuplement. - (CLR)
Les réfugiés tibétains en Inde : nationalisme et exil
Un exil forcé a débuté avec la fuite du Dalaï-Lama en 1959, qui se perpétue aujourd'hui. L'Inde occupe une place singulière car elle est le pays qui abrite le plus grand nombre de réfugiés tibétains et le pays où s'est constitué le mouvement
nationaliste tibétain de l'exil.La question se pose des rapports entre le nationalisme et l'exil chez les réfugiés de l'Inde, partant de l'hypothèse classique que l'exil a pour effet d'accentuer le sentiment nationaliste des exilés. L'A. se demande à quoi
ressemble ce nationalisme, quel est l'impact de l'Inde sur le mouvement nationaliste, et comment les réfugiés conçoivent la nation tibétaine. Elle pose la question de savoir si la nation revêt une forme particulière parce qu'elle se développe en exil et en
Activism ; Concept ; Diaspora ; National identity ; Perception ; Political geography ; Sense of belonging ; Subjectivity ; United States of America ; anti-American sentiment ; diaspora ; exile ; memory ; politics in Latin American Southern Cone
L’A. analyse les choix des communautés d’exilés Chiliens et Argentins de s’installer aux Etats-Unis, une destination atypique. Elle étudie de quelle manière elles se sont installées dans le pays, leur engagement politique, le maintien des liens avec
leurs compatriotes de par le monde et leur perception de leur identité nationale. Elle démontre dans quelle mesure les concepts d’ « exilés » et de « diaspora » changent-ils lorsqu’ils sont appliqués à ces deux catégories. Elle conclut qu’en dépit de
vivre.#This article focuses on two groups of Southern Cone exiles' communities, Chileans and Argentineans, choosing to settle down in an atypical destination: the United States. After estimating some qualitative and quantitative findings, the article
delves into the ways these communities settle down, remember their relationship with politics, maintain their connection with exiled fellow-countrymen worldwide and perceive their national identity. By relying on an empirical, single-case perspective
, with no theoretical ambitions to extrapolate its conclusions to other contexts, this article examines the extent to which the conceptualisation of the exile and diaspora categories changes when applied to these two communities.
L'espace vécu chez le peuple Hébreu (à l'époque du retour de l'exil. VIsiècle avant J.-C.)
Basée sur les récits bibliques du retour d'exil du peuple hébreu, cette étude a pour but de définir le type de rapports que ce peuple entretenait avec son environnement, et la façon dont il le percevait.
Ugandan Asians in exile: household and kinship in the resettlement crisis
Ouganda que dans la patrie d'adoption. La principale conséquence de l'exil a été la fragmentation des ménages. Les autorités des pays d'accueil tentent d'y remédier.
Place, exile and identity : the contemporary experience of Palestinians in Sydney
Etude de l'impact de l'exil et de l'absence d'Etat sur la façon dont les Palestiniens maintiennent en Australie un sens aigu de leur identité nationale. Apatridie, nationalisme et communauté imaginée de Palestine sont plus importants pour les
Governmentality to practise the state ? Constructing a Tibetan population in exile
En mettant l'accent sur les stratégies de gouvernance du gouvernement tibétain en exil en Inde, l'A. se demande comment les idées de gouvernementalité aident à mieux comprendre de quelle forme de régime politique il s'agit et les pratiques qui lui
Les réfugiés palestiniens du Liban. Une géographie de l'exil
Ces réfugiés forment l'une des communautés de diaspora dont l'avenir est le plus problématique. Ils ont subi des exodes internes successifs qui se sont soldés par un nouvel exil toujours plus lointain. Réflexions sur la pérennisation des camps dans
De facto, displaced, tacit : the sovereign articulations of the Tibetan Government -in-Exile
Sur la base d'une recherche ethnographique portant sur les institutions et pratiques politiques tibétaines en Inde, l'A. étudie un exemple de souveraineté en exil. La reconnaissance internationale fait défaut, et la souveraineté en droit sur un
territoire manque, à la fois au Tibet et en exil. Cette administration revendique une représentativité officielle de la population tibétaine, remplit une certain nombre de fonctions étatiques en liaison avec la citoyenneté de la diaspora. Elle cherche à faire
exil, dans le cadre de deux concepts contradictoires quant à l'activité sociale par rapport à un lieu. L'A. évoque le fait, à travers l'exemple d'exilés au Sri Lanka, que la perception de l'espace est politiquement chargée, qu'il s'agisse de l'image