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  • Relation entre travaux de terrain et télédétection pour l'étude de la sécheresse et son impact à Madagascar
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • On utilise les capteurs de MÉTÉOSAT-4 et HRV de SPOT comme moyen d'étude de la sécheresse et de son impact à Madagascar. L'objectif principal de cet article est de proposer une approche permettant de valider les traitements des images et de relever
  • les problèmes sur le terrain, pour réaliser une interprétation près de la réalité. La démarche scientifique combine l'exploitation des données conventionnelles, des observations, des mesures et des travaux de terrain au traitement analogique et
  • numérique des données satellitaires. Les résultats de l'étude permettent la caractérisation des objets de l'image, montrent l'importance des travaux de terrain dans la réalisation de la classification dirigée et démontrent les possibilités du capteur de
  • MÉTÉOSAT à détecter la sécheresse à Madagascar, et celles du capteur HRV de SPOT à mettre en évidence la dégradation de l'environnement. Sur le plan thématique cette étude a permis d'analyser les transformations du paysage sur une période de 38 ans et
  • démontrer une évolution normale de la formation végétale vers le climax. Il convient de souligner le rôle de l'enquête sur le terrain pour lever les confusions, celui de l'échantillonnage pour qu'il soit représentatif et la nécessité de s'appuyer sur des
  • [b1] Département de géographie, Faculté des lettres et sciences humaines, Université d'Antananarivo, B.P. 907, Antananarivo (101), Madagascar
  • La réalité de terrain et le traitement d'image en milieu tropical anthropisé : cas des mangroves et des écosystèmes littoraux du sud du Togo vus par HRV de SPOT
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • L'approche de la télédétection pour l'étude et la cartographie des mangroves ainsi que des écosystèmes littoraux du sud du Togo vise à compléter la connaissance du terrain par la vision synoptique et plus étendue que fournit l'imagerie satellitaire
  • . Après les traitements classiques d'une image HRV (XS) de SPOT (améliorations d'image, calculs d'indices, ACP et classifications dirigées), l'évaluation statistique des résultats indique une performance de 80 % à 100 % de pixels bien classés et 0 % de non
  • le terrain. Les variations sur les courbes de réflectance ne traduisent pas toujours des changements notables au niveau du couvert végétal et inversement. La principale source d'erreur de classement identifiée est la prépondérance de pixels mixtes
  • (mixels) due à l'aspect mosaïque de la végétation qui est un mélange de végétation naturelle remaniée, de cultures à petits parcellaires, de jachères et de pâturages. Ceci s'est traduit sur l'image par une variabilité de signature spectrale au sein de la
  • même classe de végétation. La méthode statistique de classification utilisée paraît mal adaptée à ces milieux anthropisés. Des méthodes d'analyse, plus structurales et texturales seraient mieux indiquées. La méthode des transects apporte, elle, une
  • nouvelle dimension à l'évaluation de la fiabilité et de la précision des classifications.
  • [b1] Département de botanique et biologie végétale, Faculté des sciences, Université du Bénin, B.P., 20148, Lomé, Togo
  • Transformation des terres du Rif et son impact sur l'envasement du barrage Ibn Battouta (Tangérois, Maroc)
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Une étude multidate basée sur l'utilisation d'une carte existante d'occupation des terres établie en 1976 (1: 20 000), de l'imagerie satellitaire (HRV de SPOT de 1990 et TM de LANDSAT de 1996) et de travaux sur le terrain a permis de préciser
  • l'évolution spatiale et temporelle du défrichement du matorral dans le bassin versant de Telata (18 000 ha, Tangérois). La régression du matorral au profit de la culture en pente des céréales avait touché environ 15 % de la superficie du bassin versant en 20
  • ans. Cette transformation de l'occupation du sol rend le versant tangérois très vulnérable à l'action érosive de la pluie et du ruissellement. Cette information a été intégrée dans un modèle d'érosion basé dans un système d'information géographique
  • (SIG). Ce dernier est basé sur l'équation universelle de perte en sol dans sa version révisée (RUSLE) et qui fait l'objet d'un programme d'adaptation aux conditions méditerranéennes. Les rendements en sédiments calculés avec ce modèle pour le bassin de
  • Telata intégrant respectivement la carte d'occupation des terres de 1976 et celle de 1996, sont en accord avec les données d'envasement mesurées par bathymétrie dans le réservoir du barrage Ibn Battouta (1976 et 1991). Le SIG du bassin versant développé
  • avec la mise à jour par télédétection offre un outil efficace de diagnostic et de planification des aménagements pour une gestion de conservation des bassins versants rifains.
  • [b1] Institut agronomique et vétérinaire Hassan Il, Département des sciences du sol, B.P. 6202, Instituts, Rabat, Maroc
  • [b2] Administration des eaux et forêts et de la conservation des sols, Chellah, Rabat, Maroc
  • Action de recherche concertée « Télédétection des ressources en eau » : présentation, résultats intermédiaires et perspectives
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • L'action de recherche concertée (ARC) « Télédétection des ressources en eau s'effectue dans le cadre d'un réseau de quatre laboratoires appartenant à autant de pays du Nord et du Sud. L'objectif est d'appliquer la télédétection et les SIG à la
  • gestion des bassins versants dans les régions semi-arides. Deux sites ont été sélectionnés, l'un au Maroc (le bassin versant de Telata) et l'autre en Tunisie (le bassin versant intermédiaire de Sebkhat El Kelbia). Trois aspects sont considérés
  • : l'hydrologie, l'érosion et la qualité de l'eau. Des données HRV de SPOT, TM de LANDSAT et RSO de RADARSAT sont mises à contribution. A l'état actuel du projet, les résultats suivants ont été obtenus : 1) pour les deux sites : la réalisation de la base de
  • données regroupant les paramètres physiques du milieu (modèle numérique d'altitude, hydrographie, pédologie, géologie, pluviométrie, etc.) et l'évaluation de l'apport des données RSO à l'identification des classes hydrologiques; 2) pour le site tunisien
  • : l'étude de l'érosion selon la méthode SAGATELE et une recherche d'un modèle hydrologique et de transport solide ainsi que la mise en oeuvre du modèle ANSWERS; 3) pour le site marocain : la délimitation des unités hydrologiques définies par la méthode SCS
  • et l'étude radiométrique des différents états de surface caractéristiques des classes hydrologiques. La communication se termine par une tentative de synthèse méthodologique et thématique commune aux deux projets, faisant ressortir les similitudes des
  • [b1] Laboratoire de télédétection et systèmes d'information à référence spatiale (LTSIRS), École nationale d'ingénieurs de Tunis (ÉNIT), B.P. 37, 1002 Tunis-Belvédère, Tunisie
  • [b2] Laboratoire de conservation des sols et de l'eau, Département des sciences du sol, Institut agronomique et vétérinaire Hassan II, avenue Allal Fassi, Cité Al Afrane, B.P. 6202, Rabat-Instituts, Maroc
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • validation et la meilleure interprétation des images traitées à l'intérieur des projets de télédétection. Tous les domaines thématiques d'application sont abordés : milieux urbains et périurbains, suivi des ressources naturelles et des couverts végétaux
  • , océanographie et écosystèmes littoraux, archéologie, désertification. Tous les types de données sont utilisées : satellitaires ou aéroportées, visible thermique, micro-ondes... L'information territoriale provenant de la télédétection, des données cartographiques
  • ou des statistiques auxiliaires est également intégrée dans des SIG. Les 6 derniers articles sont consacrés à l'action de recherche concertée télédétection des ressources en eau dont l'objectif est l'application de la télédétection et des SIG à la
  • Analyse des structures forestières des forêts de Saint-Gobain et de Coucy-Basse (Aisne, France) à l'aide de l'imagerie satellitaire et de l'enquête de terrain : choix d'un pas d'échantillonnage
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • l'échantillon, le nombre de ces échantillons et leur espacement. Dans la mesure où nous souhaitions comparer nos résultats à ceux de l'Inventaire forestier national (IFN), nous avons calé la taille des segments sur ceux de l'IFN, dont la surface est d'un hectare
  • sur imagerie satellitaire, pour déterminer le pas d'échantillonnage des segments. Avec des données satellitaires des capteurs HRV de SPOT, enregistrées à trois dates différentes et dans les deux modes (panchromatique et multibande), nous avons analysé
  • et comparé la dépendance spatiale du secteur forestier public de Saint-Gobain/Coucy-Basse (Aisne, France) où devait se dérouler l'inventaire. L'analyse des variogrammes indique que le pas d'échantillonnage le plus adapté est d'au moins 900 m sur l'axe
  • N-S et d'au moins 750 m sur l'axe E-O. Ce pas permet de tracer un carroyage systématique où, à l'intérieur de chaque maille, sera tiré aléatoirement un segment d'un hectare, soit un taux de 0,85 % correspondant à 76 segments répartis sur le massif
  • [b1] Université de Paris 8 et Centre de biogéographie-écologie UMR 180 CNRS, École normale supérieure, Le Parc, 92211 Saint Cloud, France
  • [b2] Université de Paris 1 et Centre de biogéographie-écologie UMR 180 CNRS, École normale supérieure, Le Parc, 92211 Saint Cloud, France
  • Suivi de la dégradation du matorral du Rif (Maroc): choix du dosage de l'information spatiale et des relevés de terrain
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Le présent travail est une réflexion sur les besoins en données de réalité de terrain nécessaires aux classifications dirigées des images satellitaires. II a été fait lors d'une étude de cartographie et de suivi de dégradation des terrains de
  • matorral dans le Rif occidental du Maroc. L'étude vise la précision et le suivi de l'évolution du matorral comme unité d'occupation du sol dans le bassin versant de Telata (18 000 ha). La méthode utilisée s'appuie sur les images satellitaires (HRV de SPOT
  • de 1990 et de 1996; TM de LANDSAT de 1996) pour l'extrapolation des relevés de terrain. La grande variabilité spatiale de ces formations végétales assez basses et la répartition aléatoire des zones de défrichement ont rendu la discrimination de
  • ) couvrant 2,8 %, 4,3 % et 6,3 % de la superficie du bassin versant. Les résultats ont montré que le premier niveau, grâce à l'expérience de l'interprète et à l'emploi de données auxiliaires dans un SIG, offre une efficience cartographique acceptable, les
  • [b1] Département des sciences du sol, Institut agronomique et vétérinaire Hassan II, B.P.6202 Instituts, Rabat, Maroc
  • [b2] Département d'écologie végétale et de pastoralisme, Institut agronomique et vétérinaire Hassan II, B.P. 6202 Instituts, Rabat, Maroc
  • Les références de terrain dans l'initialisation et la validation des traitements de données aérospatiales : contribution aux études environnementales multicritères
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Dans le cadre de la mise en place et de l'actualisation constante d'un « Observatoire de la ville» et d'un « Système d'informations territoriales des milieux estuariens » (SIT), nous tentons de mettre au point des procédures d'extraction
  • d'informations géographiques issues de données aérospatiales traitées en matière thématique. Les spécifications de chaque traitement sont établies en fonction de l'échelle d'utilisation du document à élaborer et définissent les sources de données à exploiter
  • (clichés aériens, images satellitaires, photographies spatiales). En fait, chaque niveau d'intervention implique une échelle d'investigation particulière (région, écotone, agglomération, quartier, etc.) et nécessite par conséquent des étalonnages de terrain
  • singuliers n'intervenant pas obligatoirement lors des mêmes phases d'analyse. Actuellement, les deux bases de données géographiques en mode image sont sollicitées dans le cadre de planifications territoriales officielles et interviennent de manière
  • déterminante dans les plans d'aménagement en cours d'élaboration. Sur les sites urbanisés, des procédures utilisant la morphologie mathématique, les opérations de filtrage et une palette de compositions colorées ont permis d'appréhender avec efficacité des
  • d'une des composantes de l'Observatoire national des zones humides initié par l'Institut français de l'environnement (IFEN); il convient alors de définir des entités spatiales d'accumulation de connaissances que l'imagerie HRV de SPOT et les clichés
  • [b1] Centre interdisciplinaire de recherches en transports et affaires internationales (CIRTAI), UPRESA 6063 du CNRS, Université du Havre, 25, rue Philippe-Lebon, B.P. 420, 76057 Le Havre, France
  • [b2] Laboratoire de modélisation et traitements graphiques (MTG), UPRESA 6063 du CNRS, Université de Rouen, 76821 Mont-Saint-Aignan, Royaume-Uni
  • Étude de faisabilité : détection de sites archéologiques et cartographie géomorphologique en Syrie par l'exploitation d'images RSO de ERS-1 et HRV de SPOT-2 intégrées dans un SIG
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Dans cette étude, on a pour objectifs de mesurer la contribution de la télédétection à la connaissance du système paléogéographique et de cibler la ou les partie(s) du spectre électromagnétique susceptible(s) de convenir le mieux en prospection
  • archéologique. Une base de données cartographiques est réalisée sur une zone-témoin syrienne centrée sur les sites de Terqa (3e/2e millénaire av. J.-C.) et Doura Europos (Haut-Empire Romain). On montre que la connaissance de l'affectation du sol participe à la
  • mise en évidence d'éléments géomorphologiques remarquables ainsi qu'à la découverte des relations entre tous les éléments du paysage. Le croisement des images avec des données thématiques permet d'ajuster et de compléter des informations et d'effectuer
  • [b1] Université de Liège, Laboratoire de géomorphologie et télédétection, allée du 6 Août, 2, bât. B-11, 4000 Liège, Belgique
  • [b2] Université de Liège, Service d'assyriologie et d'archéologie de l'Asie antérieure, 32, place du 20 Août, 4000 Liège, Belgique
  • Cartographie des paysages végétaux de la région d'Androka (sud-ouest de Madagascar) : réalité de terrain et traitement des données
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Dans ce travail, qui s'intègre dans une recherche doctorale sur l'évolution des paysages de du sud-ouest de Madagascar, nous avons établi une première cartographie des formations végétales de la région d'Androka et mis en évidence certains éléments
  • de leur dynamique sur 6 ans. Nous disposions pour cela de deux images HRV de SPOT prises le 25-08-1986 et le 10-05-1992. Le support cartographique de cette région étant peu précis et certaines zones difficiles d'accès, il était nécessaire d'établir au
  • préalable des points de repère sur l'image récente et de se restreindre à des secteurs représentatifs des principales unités de paysage. Plusieurs relevés ont été effectués sur le terrain afin d'identifier précisément la nature des différents types de
  • , cultures/pâturages), une cartographie de la végétation assez précise de la région d'Androka a pu être établie. La comparaison entre les deux scènes a ensuite permis de mettre en évidence certains phénomènes d'évolution comme des zones de recul et de
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • L'orthophoto numérique constitue un document de réalité de terrain riche et facilement exploitable au sein d'un SIG. Les logiciels disponibles aujourd'hui sur ordinateur personnel permettent la démocratisation de la photogrammétrie, comme l'atteste
  • cette contribution qui présente la réalisation d'une mosaïque d'orthophotos de l'agglomération de Genève à partir de huit photographies aériennes en noir et blanc à l'échelle du 1: 30 000. Les étapes de la procédure sont la numérisation des photographies
  • , l'orientation interne et externe, la rectification avec prise en compte d'un modèle numérique d'altitude (MNA) et le mosaïquage. La qualité du scanneur, les points d'appui mesurés sur la carte topographique au 1: 25 000, le MNA et les outils d'égalisation
  • d'histogramme ont permis d'obtenir une mosaïque de bonnes qualités géométrique et radiométrique. La finesse de sa résolution (2,5 m) en fait un document précieux pour l'évaluation des résultats obtenus avec les images satellitaires. On discute aussi plusieurs
  • aspects critiques pour obtenir des orthophotos de qualité satisfaisante, notamment la qualité du scanneur, le type de modélisation, le nombre et la précision des points d'appui.
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Le suivi de l'humidité du sol dans l'espace et dans le temps constitue un élément-clé des modèles hydrologiques utilisés pour l'étude des ressources en eau et l'aménagement des bassins versants. Le signal radar est sensible à l'humidité du sol et
  • des algorithmes simples et réversibles ont été mis au point pour l'interprétation en routine d'une série temporelle des mesures hyperfréquences. On présente ici un exemple d'utilisation d'un modèle simple et réversible pour vérifier la possibilité
  • accidentée, son potentiel de drainage faible et son couvert végétal très varié. La cartographie de l'occupation du sol à partir d'une image TM montre 5 classes qui sont le matorral dense, le matorral clair, les cultures, les sols nus et l'eau. Dans un premier
  • temps, la comparaison entre les valeurs de coefficient de rétrodiffusion et celles de l'humidité équivalente, pour des zones-témoin ayant la même pente et le même couvert végétal, montre un coefficient de corrélation faible (r = 0,35). L'intégration d'un
  • terme de correction de l'angle d'incidence local dans un modèle réversible utilisant une fonction linéaire du signal radar et de l'humidité équivalente des sols montre que la variabilité spatiale de la rugosité du sol influence fortement la
  • rétrodiffusion radar. Donc, si on tient compte de la répartition spatiale de la rugosité du sol, le modèle réversible reproduit bien les variations du signal de RSO avec la teneur en eau du sol et l'angle d'incidence. Ceci ouvre donc, des champs d'application
  • [b1] Département des sciences du sol, Institut agronomique et vétérinaire Hassan II, B.P. 6202, Rabat-Instituts, Rabat, Maroc
  • [b2] Administration des eaux et forêts et de la conservation des sols, Chellah, Rabat, Maroc
  • Analyse comparée de la dynamique spatiale des villes de Bamako (Mali) et de Garoua (Cameroun) à partir d'images satellitaires et de données auxiliaires
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Cette étude a pour but d'analyser la croissance spatiale et les changements d'affectations du sol à partir de cartes, de photographies aériennes et surtout d'images satellitaires. L'étude devrait en effet montrer que les praticiens de l'urbanisme
  • dans les pays en développement peuvent obtenirdes informations précieuses à partir d'images et à des coûts raisonnables. À ces fins ont été utilisés deux couples d'images HRV (XS et P) de SPOT, tous K-J: 40-325 enregistrés au-dessus de la ville de
  • Bamako en novembre 1986 et avril 1996. Ces images ont été recalées l'une sur l'autre puis les histogrammes ont été égalisés pour permettre les combinaisons diachroniques. Le panchromatique de 1996 a servi de référence dans ces traitements. Après ces
  • corrections, une soustraction a été faite entre les deux panchromatiques. Pour Garoua, un plan de l'IGN de 1962 au 1: 10 000, une couverture photographique de 1973 totalisant 30 clichés au 1: 8 000 et un couple d'images HRV, K-J: 86-331 datant de 1995 sont
  • disponibles. Les cartes et les photographies ont été numérisées puis mosaïquées. Une composition colorée P+XS a été créée à partir des images et corrigée au niveau 2A en la mettant dans le même référentiel cartographique que le plan. Les mosaïques des cartes
  • et des photographies ont ensuite été successivement incrustées dans la P+XS. L'interprétation des résultats obtenus montre une extension très rapide de l'espace urbanisé dans les deux villes. Les changements d'affectations à l'intérieur du tissu
  • [b4] Institut supérieur de formation et de recherche appliquée (ISFRA), B.P. 241, Bamako, Mali
  • Application de la réalité de terrain et de l'imagerie radar à la cartographie des mangroves de la région de Douala (Cameroun)
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • L'objectif poursuivi dans cette étude comporte trois grands volets. Premièrement, nous visons l'appréhension des relations entre l'évolution des processus sédimentologiques et le dynamisme naturel des mangroves. Nous essayons ensuite de corréler les
  • première a consisté à séparer les taches d'aspects homogènes et différents à partir de l'interprétation stéréoscopique de photographies aériennes infrarouges. Les principaux critères utilisés ont été les différents niveaux de gris, le grain de la formation
  • et la localisation des taches par rapport aux chenaux ou aux taches de caractéristiques différentes. D'autres données ont été utilisées telles la hauteur des arbres, la régularité et la densité du couvert végétal, et la forme du profil des forêts en
  • mangroves. Enfin, des traitements numériques ont été effectués avec l'imagerie RSO satellitaire et aéroportée, dans le but de produire une cartographie automatique de la zone étudiée. L'image RSO classifiée illustre les propriétés très intéressantes de
  • l'information fournie par l'imagerie micro-onde pour l'étude des mangroves. Le réseau hydrographique de chenaux de marée est restitué de façon très nette et les formations végétales sont aisément identifiables.
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • L'étude des forêts de plaines et de moyennes montagnes en zone tempérée à l'aide des données satellitaires associées aux photographies aériennes et confrontées aux données de terrain nécessite la mise au point d'une méthodologie qui s'appuie sur
  • l'analyse biogéographique régressive. La première phase consiste à élaborer une partition de l'espace forestier en fonction de l'histogramme bidimensionnel des canaux XS2 et XS3 de HRV de SPOT sur une date de printemps. Le nombre de points de sondage est
  • proportionnel à la taille des classes obtenues et toujours pair de façon à constituer deux lots de sites-témoin, le premier pour établir la nomenclature, le second pour la vérifier. La répartition des points de sondage est effectuée à l'aide d'une table de
  • nombre au hasard. Chaque point de sondage est recalé sur les photographies aériennes et vérifié sur le terrain. Après traitement statistique des données collectées, la nomenclature est établie, puis vérifiée. Les quelques ambiguïtés restantes sont levées
  • en employant d'autres dates choisies en fonction des différents stades phénologiques. Puis, une analyse diachronique est exécutée selon la même procédure pour observer les changements de structures, les variations spatiales et pour définir les types
  • d'évolution. Tous ces résultats sont transcrits cartographiquement et permettent d'appréhender les vitesses de transformation du couvert forestier et les tendances à l'uniformisation ou à la diversification du paysage sylvestre.
  • [b1] Laboratoire de l'École normale supérieure de Fontenay/Saint-Cloud, (CNRS) et Université de Paris IV-Sorbonne (DEPAM), 191, rue Saint-Jacques, 75005 Paris, France
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • L'Institut national de la recherche scientifique (INRS-Eau) et Hydro-Québec étudient le potentiel du capteur RSO du satellite canadien RADARSAT (bande C-HH) pour le suivi du couvert nival dans la région de la baie James (Québec) et visent le
  • développement d'une méthode opérationnelle d'estimation de l'équivalent en eau de la neige au sol et de cartographie de la neige humide à partir de cette technologie. L'interprétation du signal radar, de même que le développement et la validation des algorithmes
  • exigent la connaissance d'un très grand nombre de paramètres mesurés sur le terrain. Des lignes de neige, des profils verticaux et des sondes installées en permanence sur le territoire permettent de relever la hauteur, l'équivalent en eau, la densité, la
  • résistance thermique, la teneur en eau et la température de la neige lors du passage de RADARSAT. Grâce à ces données, une première relation est établie entre la résistance thermique du couvert nival et la différence de signal extrait d'une image RSO d'hiver
  • et d'une d'automne. Une seconde relation convertit les résistances thermiques en équivalents en eau de la neige. Dans le cas des images en mode standard (S7) de RADARSAT, l'algorithme actuel surestime de 12 à 18 % les valeurs mesurées sur le terrain.
  • [b2] Prévisions et ressources hydriques, Hydro-Québec, Complexe Desjardins, 9e étage, 75, boul. René-Lévesque Ouest, C.P. 10 000, Montréal (Québec), H2Z 1A4, Canada
  • Utilisation des mesures au sol et des données satellitaires pour l'étude de la dynamique du trait de côte de la ville de Cotonou
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • 000 datant de 1963, année de construction du port de Cotonou et du début des modifications que subira la côte, et de deux images satellitaires HRV(XS) de SPOT des 22 décembre 1987 et 13 décembre 1994. Après traitement des données auxiliaires et de
  • . Quelques rares décalages interrompent cette uniformité; les écarts n'excédant d'ailleurs pas 20 m. Le front de l'érosion côtière entre 1963 et 1994 a avancé de 500 m. Quelle que soit l'image satellitaire considérée, moins de 800 m de décalages cumulés ont
  • [b1] Laboratoire de biogéographie, Département de géographie et d'aménagement du territoire, Université nationale du Bénin, 03 B.P. 2984, Cotonou, Benin
  • [b2] Laboratoire de biogéographie, Département de géographie et d'aménagement du territoire, Université nationale du Bénin, B.P. 526, Cotonou, Benin
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • opérées surles images satellitaires par l'utilisation complémentaire des photographies aériennes et des relevés de terrain. Cotonou, comme d'autres villes d'Afrique subsaharienne, présente une physionomie hétéroclite où des surfaces peu étendues sont
  • télédétecteur et biaise les résultats des algorithmes de classification. La confrontation de la classification dirigée d'images HRV (XS) de SPOT et de l'interprétation visuelle de photographies aériennes a permis d'améliorer le résultat de la classification et
  • de saisir la dynamique de la ville entre 1963 et 1994 par une typologie basée sur les travaux de terrain et la détermination des statistiques y afférant. Révélant, sur la période considérée, que les superficies occupées par le bâti ont connu une
  • extension de 278 %, l'étude montre également l'augmentation des densités de l'habitat. Celles-ci demeurent très fortes dans les anciens quartiers et dans ceux à proximité du centre-ville alors qu'elles sont relativement faibles à la périphérie de la ville.
  • [b1] Laboratoire de biogéographie, Département de géographie et d'aménagement du territoire, Université nationale du Bénin, 03 B.P. 2984, Cotonou, Benin
  • [b2] Laboratoire de biogéographie, Département de géographie et d'aménagement du territoire, Université nationale du Bénin, B.P. 526, Cotonou, Benin
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • La présente contribution a pour objet le suivi et l'estimation des paramètres de surface (humidité et rugosité du sol) par l'utilisation d'un capteur à faible résolution (50 km), le diffusiomètre vent à bord d'ERS-1. Considérant l'importance
  • relative de l'aire d'étude (50× 50 km2), au Niger, et la variabilité spatio-temporelle de la rugosité et de l'humidité du sol, il est impossible d'acquérir ces paramètres à partir des mesures sur le terrain. La seule issue réside dans les techniques
  • d'inversion. La rugosité et l'humidité du sol sont estimées à partir d'un modèle empirique. Une très bonne relation est obtenue entre l'humidité estimée du sol et le signal d'un sol nu. On observe également une variation dans le temps de la rugosité du sol
  • . Une comparaison des paramètres estimés et mesurés indique une différence de magnitude et un profil temporel similaire. Par ailleurs, est quantifié le poids de la rugosité du sol qui est, en réalité, une rugosité relative. D'un point de vue pratique, sa
  • validation peut se faire par une simple comparaison avec le signal d'un sol nu et sec. Quant à l'humidité du sol, à grande échelle, seule une validation grossière est possible. Cette étude réalisée avec un capteur à 50 km de résolution présente un intérêt
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • L'objectif de cette étude est d'analyser l'impact de trois méthodes d'interpolation sur la précision et le coût des modèles numériques d'altitude (MNA) en fonction de la densité des données acquises et de la résolution spatiale du MNT à élaborer
  • région de Sherbrooke (Québec) avec deux équidistances différentes (10 et 20 m). Ainsi, pour chaque méthode d'interpolation et chaque équidistance, les MNA ont été rééchantillonnés avec trois résolutions spatiales (10, 20 et 30m). Les points de référence
  • données et de la résolution spatiale, les résultats obtenus montrent que la méthode des moyennes pondérées est moins précise que les deux autres méthodes. Globalement, la restitution des MNA à partir d'une équidistance de 10 met avec un pas
  • d'échantillonnage de même grandeur permet une précision significative avec une diminution du temps de restitution. Pour une équidistance de 10 et de 20 m, et quel que soit le pas d'échantillonnage, les méthodes des différences finies et des polynômes ajustés par
  • moindres carrés se démarquent par une précision meilleure. La différence de précision entre ces deux dernières méthodes reste faible et non significative. Toutefois, la méthode des différences finies se distingue par un facteur coût minimum en assurant un
  • [b1] Département de photogrammétrie-cartographie, Institut agronomique et vétérinaire, Hassan II, B.P. 6202, Rabat, Maroc
  • [b2] Centre d'applications et de recherches en télédétection (CARTEL)
  • [b3] Département de géographie et télédétection