stries relevées sur la côte et la dispersion des erratiques et des éléments lithologiques des tills révèlent que la baie fut occupée par une langue glaciaire alimentée par la calotte gaspésienne. La présence par endroits d'un diamicton glacio-marin
contenant des éléments précambriens permet de supposer que des glaces laurentidiennes ont atteint la côte demeurant limitées à la frange côtière.