La protection sociale au Sénégal : l'exemple des ouvriers du bâtiment à Dakar
Industrie du bâtiment
Cette thèse porte sur la protection sociale des professionnels du bâtiment au Sénégal et plus particulièrement sur l’analyse du risque santé et de sa prise en charge chez les ouvriers à Dakar. Elle tente d’apporter des réponses à des interrogations
portant sur les risques au travail, les besoins d’assurance santé et les stratégies de recours aux soins des travailleurs du bâtiment et de leurs familles. La recherche, à la fois qualitative et quantitative s’appuie sur une enquête auprès de 540 ouvriers
et sur une dizaine d’entretiens avec les acteurs de la protection sociale. Elle montre d’une part, que la couverture maladie dans le secteur du bâtiment est très faible (environ 5%) et la prise en charge assez limitée (soins primaires), et d’autre
révèle que globalement les ouvriers du bâtiment ne connaissent pas la sécurité sociale ; ils ont recours aux structures publiques de santé en cas de maladies ou d’accidents. Toutefois, ils sont conscients des risques dans leur métier et utilisent
bâtiments destinés à l'habitat, d'édifices religieux ou de constructions destinées à la défense de la ville, tels que les enceintes, murailles ou forteresses. Puis je les ai décrits et comparés aux descriptions figurant dans les sources anciennes. De même
Tripoli. Les territoires squattés sont illicitement édifiés sur des terrains privés et prennent aussi la forme de bâtiments occupés par des ménages ne disposant d'aucun titre juridique. Les populations résidant dans ces territoires, dont le plus ancien