L'A. étudie les rapports de la violence actuelle avec différents phénomènes politiques et sociaux identifiés comme étant à l'origine de la crise. La relance du processus électoral puis son arrêt brutal peuvent être considérés comme une erreur
politique. La logique de la violence n'est pas seulement dominante dans l'islamisme politique, mais dans les autres mouvements politiques et dans la société. Percée démocratique à l'ordre du jour, mais encore à faire. L'A. montre que l'histoire du pays
, depuis son indépendance, est imprégnée par la violence.
Les militants berbéristes ne dissimulent plus les divergences accumulées depuis l'apparition du mulipartisme politique. L'A. essaie d'expliquer cette irruption de la violence et cette animosité à l'égard du politique. La contestation ne saurait être