A travers le concept de géographie de l'imagination, l'A. analyse l'approche néoliberale selon laquelle certains peuples sont prédestinés à la violence. Il critique l'approche de la violence limitée à un lieu et concentre son étude sur la géographie
relationnelle qui traite à la fois du lieu et de la violence. Il montre que toute l'humanité est soumise à la violence mais que l'on peut aussi la rejeter. Il propose une autre géographie qui permette de mieux comprendre l'Autre, fondée sur l'admiration mutuelle
The nonillusory effects of neoliberalisation : linking geographies of poverty, inequality, and violence
Capitalisme ; Economie politique ; Inégalité sociale ; Néolibéralisme ; Pauvreté ; Système social ; Système économique ; Violence
Capitalism ; Economic system ; Neo liberalism ; Political economy ; Poverty ; Social inequality ; Social system ; Violence
néolibéralisme est plus qu’une illusion nécessaire et qu’il a des effets non illusoires, qui permettent de mieux appréhender la réalité d’aujourd’hui, à savoir une violence structurelle.
Accumulation du capital ; Cambodge ; Droit foncier ; Dépossession ; Etat d'exception ; Foncier ; Géographie politique ; Néolibéralisme ; Pouvoir ; Propriété foncière ; Violence
Cambodia ; Capital accumulation ; Land ; Land rights ; Landed property ; Neo liberalism ; Political geography ; Power ; Violence
L’A. analyse le système triadique du capital/de l’accumulation primitive, de la loi/de la violence et de la civilisation/de la sauvagerie qui selon l’approche anarchiste, existe selon une triple logique de renforcement mutuel. Il s’agit de ré
-évaluer le capitalisme, ses processus légaux et ses effets civilisateurs qui ensemble cachent les violences originelles et actuelles de l’accumulation primitive et du système foncier. Il illustre son propos au travers de l’exemple du Cambodge qui s’insère
dans un cadre néolibéral et d’imposition du pouvoir souverain. Son intention est de critiquer et d’expliquer que le renforcement du système légal ne constitue pas la panacée aux maladies sociales mais qu’au contraire, il légitimise les violences