A travers le concept de géographie de l'imagination, l'A. analyse l'approche néoliberale selon laquelle certains peuples sont prédestinés à la violence. Il critique l'approche de la violence limitée à un lieu et concentre son étude sur la géographie
relationnelle qui traite à la fois du lieu et de la violence. Il montre que toute l'humanité est soumise à la violence mais que l'on peut aussi la rejeter. Il propose une autre géographie qui permette de mieux comprendre l'Autre, fondée sur l'admiration mutuelle