Enquête menée en 1986-1987 auprès de 200 commerçants ambulants (vendeurs à la sauvette parcourant les artères du centre-ville). Commerce « illégal » portant sur des fruits et légumes (vendus dans 95 % des cas par des femmes), des produits
manufacturés alimentaires et des produits manufacturés non alimentaires (vendus respectivement pour 73 % et 95 % des cas par des hommes). Beaucoup de produits ont une origine illicite. Etude de la logique des itinéraires suivis par les vendeurs.―(HN)
Pour ravitailler sa population, Lubumbashi dispose de 23 marchés hiérarchisés en 3 niveaux, niveaux définis par la taille du marché, le nombre des vendeurs et des acheteurs, le degré de rareté des biens et services fournis. Une enquête par sondage