La méthode de McCree (1972) a été utilisée pour calculer la réponse photosynthétique théorique d'une feuille supposée placée en conditions naturelles selon que le rayonnement utile pour la photosynthèse (400-700nm) est caractérisé par la densité de
naturelles les écarts de photosynthèse obtenus selon les deux modes d'expression du rayonnement utile à la photosynthèse sont moins importants que sous lumière artificielle. La densité de flux de photons visible a été mesurée sur plusieurs sites pendant des
périodes assez longues, et rapportée au rayonnement global. Le rapport varie peu, ce qui permet de déterminer le rayonnement utile pour la photosynthèse à partir du rayonnement global qui est une mesure courante.