L’enseignement supérieur en Indochine à l’époque coloniale française fut marqué notamment par la création de l’Ecole de Médecine de Hanoi en 1902, puis par la création d’une université indochinoise en 1906 qui était une mesure. Cette décision fut
l’enseignement en Indochine. L’université indochinoise fut réorganisée et plusieurs écoles supérieures furent créées et formèrent à presque tous les domaines nécessaires au développement du pays : la médecine, le droit, les beaux-arts, le commerce, l’agriculture
et la sylviculture, les travaux publics et la pédagogie. Jusqu’en 1945, le système d’enseignement supérieur en Indochine fut très complet et très bien organisé et Hanoi devint un centre éducatif dans tout l’empire colonial français. L’université
seule université consacrée aux étudiants indigènes dans tout l’empire colonial français. L’université indochinoise est considérée comme une des plus importantes œuvres du colonialisme français en Indochine.
plus, le matériel découvert non seulement à l’époque ottomane impériale, mais aussi lors du mandat français notamment lors des fouilles de l’Université de Princeton a été dispersé entre la Turquie, la France, les États-Unis, la Syrie et le Liban
d’Antakya et aux Archives du département d’Art et archéologie de l’Université de Princeton, deux principaux endroits où sont conservés les fruits des fouilles, pour pouvoir comparer les enregistrements d’inventaire, en établir une concordance et obtenir des
population. La deuxième partie s'intéresse à l'espace des étudiants de l'Institut des Beaux-Arts de l'Université Libanaise à Hadath, qui se trouve dans la Banlieue Sud de Beyrouth. La troisième partie traite enfin d'un moment extraordinaire de l'expérience
de la pratique, aux marges de l’université et des champs scientifiques. Ce travail cherche également à évaluer si les liens entre les trois groupes sont assez denses pour qu’il soit possible de parler d’un courant de pensée mondial.