Le business : une forme sociale mexicaine : ethnographie d'un marché de textile et confection au centre historique de la ville de Mexico
une affaire, une vente, un gain, avec des comportements orientés à des normes qui obéissent à des filiations, obéissances et légitimités qui impriment des traits familiers, communautaires et paternalistes aux groupes sociaux étudiés. Autour du business
, s'agglutinent d'immenses secteurs sociaux et politiques donnant lieu à une forme sociale dans laquelle l'exercice du business détermine les structures de contrôle social, de sécurité, ainsi que les normes groupales et communautaires qui régulent, ordonnent et
imposent leurs hiérarchies : elles forment une forme sociale. Les individus de ce groupe social possèdent des motivations économiques de recherche pour l'optimisation de leurs bénéfices, leurs motifs de subsistance, leurs motivations d'exploitation des
organisations sociales et les leaderships locaux développent un rôle fondamental dans le fonctionnement social mexicain.
les stratégies de régularisation physique et juridique sont interrogés au regard des évolutions sociales, démographiques et politiques. Le caractère dynamique et divers des colonies populaires a été examiné à travers deux outils conceptuels de l’étude
sociodémographiques systématiques et d’un travail empirique dans quatre quartiers. Une fois le cadre de travail présenté, les contextes de la maturation ont été observés selon trois entrées : sociale, relative aux mobilités, et politico-juridique. Les trajectoires
expériences citadines, en particulier par rapport aux ressources de la proximité, les dynamiques de régularisation foncière et urbanistique dans leur complexité et les évolutions de la division sociale de l’espace. Au final, ces quartiers deviennent de plus en
Tout en défiant l’anthropologie classique, cette étude montre la manière selon laquelle les perspectives intimistes peuvent contribuer à la compréhension de phénomènes sociaux. Le point de départ est celui de l’histoire personnelle de l’auteure et
en péril leur vie dans le quotidien, et d’établir quels sont les différents facteurs qui interviennent dans le fait que certains individus parviennent à réaliser une trajectoire d’ascension sociale alors que d’autres non. Cette thèse décrit d’abord le
l’unité domestique dans une unité de production. Elle explore ensuite les possibilités qu’ont les habitants du quartier de Miguel Hidalgo d’accomplir une certaine ascension sociale grâce aux études. Elle montre aussi les modes selon lesquels les résidents
détermine la division sociale de l’espace urbain. On constate en effet que les “pionniers urbains” prennent place en des lieux spécifiques, en particulier le long des foyers “civilisateurs” établis depuis la période coloniale, où l’on retrouve actuellement
des différents mécanismes de patrimonialisation et de gestion sociale établis par le gouvernement local en guise de neutraliser les conflits inhérents au processus de gentrification.
retours dits «volontaires». Plus qu'un véritable choix, cette bifurcation dans leur trajectoire biographique est une réponse à la situation d'enfermement social, économique et physique à laquelle se retrouvent confrontés les immigrants illégaux aux États