A partir de données fournies par les études de terrain et en laboratoire, littéraires et d'archives, l'A. étudie la détermination de la salinité selon la présence de chlore. Il définit la limite inférieure de la possibilité d'application des
rapports obtenus à partir de l'estimation de la situation de la barrière géochimique dans la zone fleuve-mer. Pour les régions d'embouchure elle correspond en moyenne à une salinité de 2,5 g/kg. L'A. montre que l'ion hydrocarbonaté contribue
considérablement à la variabilité des rapports entre les ions des eaux de surface. Par suite des modifications du système carbonaté, l'erreur, lors de la détermination de la salinité selon la présence de chlore, peut atteindre 0,04 g/kg.
Eau de mer ; Hydrologie marine ; Interaction océan-atmosphère ; Mer Noire ; Salinité ; Température
L'A. analyse la variabilité des champs de température et de salinité dans la couche supérieure de la partie nord-ouest de la mer Noire, dans un large éventail d'échelles temporelles. Cette variabilité est déterminée par l'interaction à grande
Etude des variations de la composition ionique et de la salinité du lac Manitoba et de son précurseur glaciaire, le lac Agasiz, durant les derniers 11 000 ans. Les données paléochimiques sont obtenues à partir des environnements analogues actuels
majeure partie de l'aire étudiée est composée de sédiments marins gelés caractérisés par une grande salinité et en conséquence une faible résistivité électrique. Selon les AA., même s'ils ne donnent qu'une approximation des paramètres ou caractéristiques
salinité, l'histoire de la formation. Il met en évidence les particularités de l'alimentation de l'océan Arctique en matériel sédimentaire et la spécificité logique de la manifestation du processus de sédimentation dans l'océan et les mers arctiques.
On envisage les problèmes de salinité dans les zones irriguées, la dégradation de la végétation naturelle (incendies, exploitation démesurée) et la forêt urbaine menacée et, finalement, les problèmes concernant la faune. - (MZ)