L'objet de cette recherche urbanistique se situe à l'intersection de deux grandes dynamiques : la production officielle de l'espace public dans la ville contemporaine et le développement de l'activité commerciale dans les rues. Il s'agit d'une
démontrer les dimensions cachées du commerce de rue et son impact dans la vie quotidienne des habitants, car sa valeur sociale a souvent été ignorée, voire méprisée, dans la régulation de l'espace public ou dans la mise en place de projets urbains.
une très faible emprise de la trame viaire, dont la hiérarchie demeure incomplète. Près de 85 % des rues sont inférieures à douze mètres de large. Les ruelles forment ainsi le cœur de l’armature urbaine, tout autant que le cadre de vie de la
fois dans la presse locale (Shenbao, North China Daily News) et dans les rues de la ville. Refusant tout usage métaphorique de l'espace, cette thèse emprunte aux différentes « sciences de l'espace » pour tourner autour de l'objet publicitaire et
avec les autres espaces urbains, mais depuis le début de ce siècle et à la suite du développement des villes, de la construction des rues donnant accès aux voitures et de la désignation des modèles d’habitation et d’urbanisme, le rapport entre le bazar
économique et aux petites et moyennes entreprises. Ouagadougou est aussi reconnue au niveau international. Elle est, à travers la Brigade Verte – une association municipale de balayage des rues -, lauréate de plusieurs prix : prix Africités en 2003, Dubaï