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  • Observations sur quelques lambeaux de l'infrastructure routière romaine en Tunisie centrale et au Cap Bon
  • Antiquité ; Géographie de l'Afrique ; Géographie historique ; Route ; Tunisie ; Voie romaine
  • Synthèse des observations effectuées, soit au cours de prospections pédologiques soit lors de visites spécifiques, entre 1977 et 1983, sur la rapide dégradation et sur ce qu'il reste actuellement de certains tronçons du réseau des voies romaines
  • D'après l'A., la crise érosive actuelle trouve son origine dans la fragilisation du milieu naturel à la fin de la colonisation romaine. En fin d'article, étude des mécanismes et du bilan de la crise érosive actuelle. - (D'après l'A.).
  • prélèvements de céramiques puniques et romaines. Le rôle des différents facteurs de la morphogenèse est aussi précisé.
  • Après l'examen du cadre naturel et l'évocation de sa dégradation essentiellement par l'homme depuis l'époque romaine (peuplement dense et surexploitation du milieu), l'étude s'attache à montrer le caractère catastrophique de l'érosion| celle-ci est
  • L'analyse pollinique de 5 carottes de sédiments marins permet de suivre les transformations du paysage botanique de la Tunisie centrale : depuis la fin de l'époque romaine, la steppisation et l'aridité s'accentuent, jusqu'aux XIIIe-XIVe siècles au
  • généralisé des sols lui succède à la fin de la colonisation romaine, en liaison probable avec l'extension des défrichements. Depuis, les oueds ont entaillé leur lit de plusieurs mètres.
  • L'Etat, la ville et le foncier sont originellement des concepts juridiques d'origine occidentale, polis par le droit romain, le droit naturel et la Révolution française. Introduits en Afrique noire avec la colonisation, ils ont recouvert un espace
  • l'époque romaine) que climatique (légère récurrence humide à la même époque). La datation de tessons de poteries a permis de donner un âge absolu, allant du III s. au V s. après J.-C. à cette phase d'accumulation historique, la plus importante après le
  • l'arboriculture (oliviers, amandiers, abricotiers). L'arboriculture existait dans cette région pendant l'époque romaine| elle fut remplacée au XI s. par l'élevage nomade qui s'est maintenu jusqu'au XX s. Sous le Protectorat, les nomades devinrent sédentaires. Les