néanmoins précaires en raison du creusement du déficit des administrations publiques et de celui des comptes extérieurs. Ils sont hypothéqués par le retard pris dans le domaine des réformes structurelles.
La restauration des grands équilibres financiers et monétaires et l'accélération décisive des privatisations industrielles ont été les paris relevés par le gouvernement en 1997. La première épreuve a pu être en partie surmontée au prix d'une brutale
budgétaire et inflation restent préoccupants de même que le retard pris dans les réformes structurelles. L'accueil fait aux investisseurs étrangers est resté jusque-là empreint de méfiance.