décennies qui ont précédé le déclenchement de la révolution et de la guerre, la ville se trouvant en pleine expansion avec un accroissement de population très rapide, tandis que les politiques d'aménagement mises en oeuvre ne se révélaient pas à la hauteur
désormais au cœur des nouvelles tensions - des stratégies de placements et de déplacements de populations, puis d'appropriations et de résistances des « espaces publics » et résidentiels par les acteurs locaux. Les conflits ne sont plus religieux, mais
40 % de la population de l’agglomération de Damas vivaient dans des zones non-réglementaires. Celles-ci représentent donc une composante essentielle de l’expansion urbaine. Premièrement, la thèse analyse le phénomène de l’habitat non-réglementaire à