décennies qui ont précédé le déclenchement de la révolution et de la guerre, la ville se trouvant en pleine expansion avec un accroissement de population très rapide, tandis que les politiques d'aménagement mises en oeuvre ne se révélaient pas à la hauteur
résidents macanais, chinois et portugais. Elle traite des effets que la coexistence de différentes populations a su imprimer au « caractère » de cette ville, conçu comme le produit des rapports entre ses résidants, mais aussi avec l’espace habité, à la fois
comme ville vitrine de la croissance économique de l’Indonésie et comme point relais de la mondialisation, où la pauvreté n’aurait, en somme, plus lieu d’être. Pourtant, en augmentant les situations de vulnérabilité de certaines populations, les