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Par Collection Par Auteur Par Date Par Sujet Par Titre Par ville ? Par pays ? Par continent ?
  • cas libanais, que nous n'avons pas voulu laisser non évoquée, à savoir la participation de la population du pays aux moments politiques, qui n'a pas d'équivalent dans l'histoire du pays. L'ambition première de cette étude est de rendre compte de cette
  • participation, de ses conditions, de son degré d'engagement, mais aussi de l'univers social que la crise injecta aux espaces de vie de la population - à savoir : qu'est-ce que la population vécut au cours de ces années ? La problématique qui se pose ainsi est
  • : la conjoncture politique de crise a-t-elle interrompu ce quotidien et ce rapport de la population avec les politiciens ou s'inscrit-elle en continuité avec ce rapport ? L'étude est divisée en trois parties : la première s'attache à l'observation du
  • population. La deuxième partie s'intéresse à l'espace des étudiants de l'Institut des Beaux-Arts de l'Université Libanaise à Hadath, qui se trouve dans la Banlieue Sud de Beyrouth. La troisième partie traite enfin d'un moment extraordinaire de l'expérience
  • temples romains, la population locale y voit une Qalaa (citadelle) arabe. Entre la romanité et l’arabité du site, l’État libanais a opté pour sa dimension phénicienne qui affirme que les Libanais sont les descendants des Phéniciens. Avec la remontée du
  • pouvoir communautaire chiite dans la ville, un nouvel objet patrimonial émerge : le mausolée de Sit Khawla répond par son référentiel identitaire et la dynamique économique qu’il induit dans la ville, aux aspirations de la population locale recomposée
  • décennies qui ont précédé le déclenchement de la révolution et de la guerre, la ville se trouvant en pleine expansion avec un accroissement de population très rapide, tandis que les politiques d'aménagement mises en oeuvre ne se révélaient pas à la hauteur
  • désormais au cœur des nouvelles tensions - des stratégies de placements et de déplacements de populations, puis d'appropriations et de résistances des « espaces publics » et résidentiels par les acteurs locaux. Les conflits ne sont plus religieux, mais
  • 40 % de la population de l’agglomération de Damas vivaient dans des zones non-réglementaires. Celles-ci représentent donc une composante essentielle de l’expansion urbaine. Premièrement, la thèse analyse le phénomène de l’habitat non-réglementaire à
  • paysans, qui pratiquent une agriculture de subsistance. Ce type d'habitat a pu continuer à être viable malgré un statut socio-économique peu élevé. Le niveau de la population rurale est resté à peu près stable jusqu'au débit des années 2000. Comme la
  • production est dépendante de l'irrigation, les SHP posent une menace sérieuse sur les moyens d'existence et cela a violemment mobilisé une population auparavant renfermée et docile. Cependant, le discours, le cadre, l'amplitude et les techniques de
  • mobilisation sont complètement différents de ceux des espaces péri-urbains de la Mer Noire. L'amplitude de la mobilisation est directement reliée à celle de la menace sur les moyens de subsistance de la population à Bagbasi et Pehlivanli. Quand la menace est
  • richesses pour assurer à sa population une continuité de sa prospérité passée. Elle est devenue le lieu de combats physiques, économiques et symboliques dans lequel ses habitants luttent quotidiennement pour assurer leur subsistance. Postulant
  • qui transcende désormais les limites communales, les logiques foncières et les zones à risques. Enfin, se pose la question du cadre de vie pour les populations, le paysage urbain en devenir et la disparition d’une identité jusque-là transmise en partie