La participation associative dans les quartiers populaires : associations, problèmes publics et configurations politiques locales dans la périphérie urbaine de Paris et de Buenos Aires.
Participation
de la participation associative depuis les années 1970 dans les quartiers populaires urbains situés en périphérie de Paris et de Buenos Aires. La première partie est consacrée à l’analyse des théories politiques du fait associatif et à leur insertion
au sein d’une sociologie empirique de la participation associative. La généalogie de la notion de société civile est mise en relation avec l’avènement de la démocratie moderne afin d’inscrire l’essor associatif des dernières décennies dans une
perspective historique de longue portée. Notre approche de la participation associative est ensuite explicitée en référence à trois grandes thématiques du fait associatif : le tiers secteur, le capital social et l’engagement militant. La deuxième partie
articule la participation associative avec les transformations socio-économiques des classes populaires et le développement des politiques sociales territorialisées. L’analyse d’une association dans le territoire français illustre d’abord les possibilités
clientélaires du péronisme.La troisième partie s’attache à analyser la participation associative en relation avec les évolutions des principaux partis politiques des classes populaires et les changements intervenus dans les configurations politiques locales
Abidjan - Cote d Ivoire - Afrique de l Ouest - Afrique - Geographie de l Informalite - Politique Urbaine - Economie Souterraine - Urbanisme - Participation des Citoyens - Appropriation Spatiale - Lieux Centraux
Sociologie politique d'une expérience de démocratie participative. Le cas d'une radio communautaire au Sénégal
Démocratie participative
promoteurs de la démocratie participative s’attachent à développer des dispositifs d’action citoyenne visant à corriger les défauts et insuffisances du gouvernement représentatif au regard de l’idéal démocratique : la place des citoyens dans le système de
Santiago du Chili - (New-York) - (Paris) - Chili - (Etats-Unis) - (France) - Amerique du Sud - (Amerique du Nord) - (Europe) - Amerique - (Europe) - Jeunesse - Citoyennete - Participation politique
Dakar - Senegal - Afrique de l Ouest - Afrique - Periurbanisation - Amenagement de l Espace - Politique Urbaine - Organisation Internationale - Citadinite - Gestion Participative - Projet Urbain
voies théoriques et méthodologiques d'une étude qui tente d'expliquer la faible participation électorale des bamakois. En prenant successivement en compte le territoire comme agrégat de données quantitatives (territoire objectif) puis comme construction
sociale opérée par les individus (territoire subjectif), nous proposons de revenir sur les apports d'une approche « sociogéographique », permettant de comprendre les raisons de la faible participation électorale des individus. La « politique » apparaît à
Peut-on parler de décentralisation sans faire le rapprochement avec les questions de développement ? Au Sud comme au Nord, les opinions s'accordent sur le choix des mesures de décentralisations, dans la mise en œuvre des stratégies participatives de
territoriales de base aux prises de décisions participe à la (re)construction du développement local. La décentralisation peut-elle servir la dynamique de développement au niveau local ? En dépit des espoirs suscités par la décentralisation, des insuffisances
cas libanais, que nous n'avons pas voulu laisser non évoquée, à savoir la participation de la population du pays aux moments politiques, qui n'a pas d'équivalent dans l'histoire du pays. L'ambition première de cette étude est de rendre compte de cette
participation, de ses conditions, de son degré d'engagement, mais aussi de l'univers social que la crise injecta aux espaces de vie de la population - à savoir : qu'est-ce que la population vécut au cours de ces années ? La problématique qui se pose ainsi est
. Ces dispositifs ont donné lieu à l’émergence de « professionnels » de la participation. L’enquête montre par ailleurs que les pouvoirs publics utilisent les ressources associatives pour produire de l’action publique dans les quartiers populaires. Dans
Sans présumer en amont d'un « autoritarisme iranien », cette thèse étudie l'expérience du politique des conseillers de quartier de Téhéran à la lumière des processus de normalisation qui organisent en pratique leur participation à la vie publique
Médina à travers plusieurs sujets : l’accessibilité, la mobilité, la densité, la proximité des services, la gestion des déchets, les éléments d’ambiances qui participent à la fabrique de l’espace public, donc des paysages urbains. Afin de confirmer
l’hypothèse que la Médina dispose d’une bonne base pour devenir un quartier durable, nous avons élargi notre recherche par une analyse architecturale et sociale appuyée par plusieurs sujets, à savoir la diversité de logements, la participation citoyenne, la
mixité. Cela, à travers l’observation et la marche urbaine comme méthode d’analyse des usagers, des usages, des pratiques qui participent à l’attractivité et au maintien en vie des espaces publics. En somme, cette thèse décrit deux expériences que rien ne
identités régionales et de leur participation dans les destins nationaux. Pour mener à bien ce projet d’interprétation des évolutions politiques contemporaines de l’Amérique latine, l’analyse doctorale propose une comparaison du discours politique et des
d’autres formes diverses, dissidentes, et souvent marginalisées de participation. Dans ce cas, le carnaval et les festivités de Salvador et de Carthagène ne sont pas seulement des espaces de rencontre culturelle à travers les symboles, la danse et la
privés de prospérité. En quête de "bonne existence" et de distinction sociale, disposées à changer profondément leurs modes de vie et à s’éloigner du centre, les classes moyennes émergeantes participent activement, avec des résultats plus ou moins heureux