inscription
Portail d'information géographique

Résultats de la recherche (5 résultats)

Affinez votre recherche

Par Collection Par Auteur Par Date Par Sujet Par Titre
  • Participation et gestion dans les parcs nationaux de montagne : approches anglo-saxonnes
  • en opposition avec les populations locales ou autochtones. Depuis les années 1970, la participation publique est devenue une pratique commune dans la gestion des parcs nationaux, même si elle revêt des réalités très variables. Cet article analyse les
  • tendances générales de la participation (notamment au niveau des dispositifs) dans les pratiques de gestion des parcs nationaux, qui sont généralement considérées comme des réussites en termes de pratiques politiques ou de gouvernance et qui sont souvent
  • présentées comme des modes d’élaboration de démocratie délibérative. L’analyse utilisant les différents niveaux scalaires tend à montrer au contraire que les dispositifs de participation publique peuvent aussi fragmenter les parties prenantes et rendre plus
  • Formes, acteurs et enjeux de la participation dans la genèse du Parc national des Cévennes (1950-1970)
  • Les paradigmes successifs de la sociologie française ont construit une représentation de l’évolution de la participation environnementale qui tend à opposer la période « écocitoyenne » actuelle à celle des Trente Glorieuses, marquée à la fois par
  • , permet en effet de nuancer une périodisation et une perception parfois trop rigides de l’évolution des modes de participation. Par ailleurs, les modalités singulières de cette dynamique participative - en particulier l’importance des individus et des
  • Adivasi ; Développement ; Eco-développement ; Inde ; Parambikulam ; Participation
  • Development ; Ecodevelopment ; India ; Participation
  • . L’écodéveloppement, soutenu par la Banque Mondiale, se voulait un moyen de favoriser des activités alternatives à l’exploitation des ressources et de faire participer les populations à la protection de leur environnement. Lancé en 2001 dans la réserve naturelle de
  • co-gestion participative mise en place sur ces territoires.
  • participation des populations locales et non sur leur éviction à la périphérie d’espaces sanctuaires. Les aires protégées intègrent alors un projet identitaire ladakhi de distinction vis-à-vis du pouvoir régional cachemiri.