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  • ELLES PROLONGENT CELLES QUE R. SCHNELL A DECRITES SUR LE NIMBA GUINEEN. S'Y AJOUTENT DES FORETS CLAIRES A GAERTNERA PANICULATA ET DES PEUPLEMENTS A PEU PRES PURS DE GARCINIA POLYANTHA ET DE AMANOA BRACTEOSA QUI FONT L'ORIGINALITE DU NIMBA LIBERIEN
  • L'A. défend une interprétation très restrictive, qui réduit le noyau de climat méditerranéen pur à un territoire extrêmement exigu. Mais comme la limite retenue n'a aucune signification phytogéographique, surtout dans l'Ancien Monde, la nécessité se
  • est légèrement supérieur à la valeur obtenue à partir d'un modèle déterministe pur. On peut noter l'intérêt de la méthode pour le calcul des fluctuations.
  • Une sécheresse assez localisée, semble-t-il, a affecté en 1978 le Sud-Ouest du Congo et spécialement le bassin du Konilou. Elle n'est pas sans rappeler la sécheresse célèbre de 1958 en domaine équatorial pur et de transition, qui fut cependant plus
  • colluvions au pied des collines. Sur les calcaires purs on obtient les plus faibles concentrations. Les teneurs s'élèvent en profondeur et avec l'augmentation des précipitations. Les résultats montrent que les concentrations moyennes observées dans les sols
  • minéral (argile et limon) recouvert d'une mince couche de tourbe isolant le noyau gelé en hiver. Le processus morphogénétique semble cependant être le même lorsque la palse se forme dans une tourbière ou dans un sol minéral pur. (C. Wagenaar).
  • le cas de sols sableux, à faibles réserves minérales, les boisements artificiels de résineux purs risquent donc de réduire le potentiel de fertilité à long terme du sol. (Extrait du rés. des AA.).