La fin de la récession ne semble pas être le prélude à une reprise vigoureuse de l'activité. Le pays parvient difficilement à placer ses principaux produits sur les marchés extérieurs. Industrie très défavorisée. Dégradation des comptes extérieurs
. Accroissement de la dette et creusement du déficit budgétaire. les réformes structurelles marquent le pas, freinées par l'opposition parlementaire.
. Le peu d'avancées dans les réformes structurelles et les privatisations, l'autoritarisme du régime font que ce pays est le seul de la région à ne pas avoir passé d'accord avec le FMI.
La faiblesse de la croissance a conduit le gouvernement à assouplir l'austérité monétaire et budgétaire menée depuis 1994. Le dévaluation de juillet n'a pas permis de réduire le déficit commercial. Climat social de plus en plus tendu et résurgence
Admise à poser sa candidature d'adhésion à l'UE, la Slovénie a connu en 1997 une croissance modeste tirée par les services et les exportations. Son PIB par tête est néanmoins le plus élevé des PECO et le chômage réel ne dépasserait pas 7%. Déficit
Pays homogène, qui entretient de bonnes relations avec ses voisins, ouvert sur l'Occident comme sur la Russie, la Lituanie a mis un certain temps avant d'engager des réformes, ce qui explique qu'elle ne fasse pas partie des pays admis à négocier
L'instabilité gouvernementale et la politique menée à l'égard des russophones expliquent sans doute que la candidature lettone n'ait pas été retenue par l'UE. Malgré un certain retard dans les réformes, le pays peut pourtant se targuer d'avoir une