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  • Il n'y a pas de géographie sans drame. Entretien avec Jean Dresch. in Les géographes, l'action et la politique. (There is no geography without drame. Interview of Jean Dresch)
  • : il semble bien qu’il s’agisse plus d’une représentation servant à légitimer une politique de domination des réseaux. Les États-Unis sont les premiers à développer une telle attitude. Cela ne signifie pas pour autant que les terroristes n’utilisent pas
  • et le développement des marchés financiers internationaux d'autre part - interagissent avec le pouvoir des Etats et l'influencent mais ne privent pas ces derniers de leur capacité à agir. L'Union européenne et la Zone euro en particulier font
  • toutefois exception à ce constat, en raison principalement de leur état d'inachèvement politique qui ne permet pas l'exercice d'une véritable souveraineté européenne.
  • L’Internet et le cyberespace sont aujourd’hui des réalités incontournables du monde contemporain. Cependant, ces deux termes ne se recouvrent pas. L’Internet est un réseau bâti sur du réel, composé de fibres optiques, de liaisons par satellites et
  • appeler les règles de Las Vegas : ce qui se passe dans le cyberespace ne sort pas du cyberespace. Ainsi, aucune cyberattaque, même si elle cause des dommages conséquents, y compris la mort, ne mérite d’entraîner une réponse cinétique. Cette position repose
  • croissance des géants de l’Internet comme Google ou Facebook. Pourtant, l’activité en ligne et les flux de données ne sont pas pris en compte dans les indicateurs traditionnels tels que la balance commerciale, ou le cours des matières premières. Les AA
  • usages malveillants qui défient leur souveraineté. Mais le cyberespace ne possède pas de définition consensuelle et fait l’objet de représentations qui s’expriment nettement dans les différents enjeux qui lui sont relatifs. L'A. analyse ces différentes
  • référence renvoient non pas à Tchernobyl, accident le plus proche, mais à Hiroshima, phénomène malgré tout d'une autre nature.
  • domaine des études urbaines, qui ne font toujours pas partie de la démarche géopolitique.
  • La géopolitique brésilienne ne se résume pas à celle la dictature militaire (1964-1985), utilisée par les généraux-géopoliticiens pour justifier leurs politiques internes et externes. Sans nier l'usage très idéologique fait de la géopolitique lors
  • actuellement confrontée à une série d'enjeux internes qui questionnent le devenir d'un projet de puissance qui s'appuie sur un patrimoine matériel et identitaire issu de l'Union soviétique. Le secteur scientifique n'échappant pas à cette règle, c'est à travers
  • était portée au vote Front national. Le deuxième volume est consacré aux nationalismes régionaux. Désormais, ceux-ci paraissent affaiblis ; il n'en va pas de même pour le vote Front national qui s'étend sur l'ensemble du territoire.