Distribution de la granulométrie et de la minéralogie de la charge de fond sableuse du bassin de l'Oubangui (République Centrafricaine et République du Congo): implications sur l'origine et la dynamique sédimentaire des alluvions de l'Oubangui
Analyse granulométrique et minéralogique d'environ 400 échantillons de sables alluviaux prélevés dans le bassin de l'Oubangui. Ces sables proviennent de l'érosion des formations du bassin du Mbomou et du bassin d'Uélé. L'Oubangui n'a pas la force
érosive suffisante pour creuser son lit. Les apports de certains affluents sont précisés ainsi que les zones du bassin-versant de l'Oubangui où les processus d'érosion sont actuellement actifs.
Mesure des taux isotopiques de strontium dans la charge en suspension et en solution sur des échantillons prélevés mensuellement dans l'Oubangui en République Centrafricaine, ainsi que sur des échantillon prélevés au moment des hautes eaux dans tous
Chimie des eaux du fleuve Congo à Brazzaville et de l'Oubangui à Bangui (années 1988 à 1992)
Afrique ; Charge en solution ; Charge solide ; Congo ; Cours d'eau ; Eau ; Hydrochimie ; Minéralisation ; Oubangui ; Zone intertropicale
Point sur la méthodologie et les résultats analytiques obtenus sur les matières minérales dissoutes du Congo et de l'Oubangui. Résultats de l'étude des variations de la composition chimique de la matière minérale dissoute pour les années 1988 à 1992.
Un suivi mensuel de la granulométrie des matières en suspension (MES) de l'Oubangui et du Congo a été effectué de 1988 à 1993 à Bangui et Brazzaville. La médiane des sédiments transportés se situe entre 0,16 et 3 μm. Les MES des périodes de crues
Sur l'existence de paléo-cryptokarsts dans le bassin de l'Oubangui (République Centrafricaine)
Altérite ; Centrafricaine, république ; Cryptokarst ; Doline ; Formation superficielle ; Géographie de l'Afrique ; Karst ; Oubangui ; Paléokarst
-interprétation permet aux AA. de proposer une carte de l'extension des paléo-cryptokarsts de Centrafrique et donc des formations carbonatées. Les premières analyses d'eau sur l'Oubangui tentent de confirmer cette extension présumée sur 17 500 km2. - (AW)
En amont de Bangui, le bassin-versant de l’Oubangui couvre 490 000 km2. Variations du régime depuis 1911. Régression persistante des débits depuis 1971 (diminution de 29 % par rapport à la moyenne 1935-2006). Elle est concomitante d’une diminution
Le problème de l'Oubangui-Ouellé ou comment fut exploré et reconstitué un réseau hydrographique à la fin du XIX siècle
Afrique ; Afrique centrale ; Années 1877-1890 ; Centrafricaine, république ; Congo, bassin ; Exploration ; Géographie de l'Afrique ; Histoire coloniale ; Oubangui-Uélé, bassin ; Réseau de drainage ; Siècle 19
Il fallut vingt ans de 1870 à 1890 pour explorer et comprendre le réseau hydrographique de l'Oubangui-Ouellé dans ce qui restait le dernier blanc de la carte d'Afrique. Ce n'est que lentement que la réalité géographique est apparue au travers des
Physiogeographic features of the Oubangui catchment and environmental trends reflected in discharge and floods at Bangui 1911-1999, Central African Republic
By using the regional case of the Oubangui River drainage area in Central Africa, the aim of this study is to focus on the intensity and frequency of flood hazards over the past 90 years at the site of Bangui. It will be discussed if the statistical
analysis of the Oubangui discharges from 1911 up to the present will confirm the hypothesis of a recently ongoing aridification trend evidenced by fluvial systems in northern Central Africa.
La vallee de la Mpoko (Centreafrique) : du PK 26-route de Boali a la confluence avec l Oubangui : marge metropolitaine, urbanisation a l africaine et environnement
Evolution du débit du fleuve Congo (à Brazzaville, de 1903 à 2010) et de deux affluents de rive droite, la Sangha (à Ouesso, depuis 1948) et l’Oubangui (à Bangui, depuis 1936). Les données montrent une forte diminution du débit à partir de 1970
Evolution interannuelle de la dynamique sédimentaire d'une barre sableuse d'un fleuve de régime tropical humide: le site de Pama sur l'Oubangui (République Centrafricaine)
2 stratégies d'échantillonnage ont été suivies: un suivi mensuel de l'Oubangui à Bangui et du congo à Brazzaville en 1988 et 1989 pour la pyrolyse Rock-Eval et les teneurs en acides aminés et de janvier à décembre 1989 pour les stérols; un suivi de
la crue de l'Oubangui-Congo de Banguui à Brazzaville (nov. 1989), avec des prélèvements sur les axes fluviaux ainsi que sur les affluents Lobaye, Motaba, Likouala, Sangha, Alima et Kasaï.
un comportement différent selon la crue et l'étiage. Les crues du Kasaï apportent un matériel de nature différente de celle des suspensions de l'Oubangui. L'analyse qualitative des particules de nature ligneuse permet de préciser et de reconnaître
Afrique ; Bassin-versant ; Congo ; Cycle du carbone ; Dioxyde de carbone ; Distribution spatiale ; Dynamique fluviale ; Débit ; Erosion chimique ; Géochimie ; Modélisation ; Météorisation ; Oubangui ; Zone intertropicale
Les variations temporelles des flux de CO2 sont déterminés en appliquant un modèle de décomposition des flux d'éléments majeurs (modèles MEGA) exportés par le Congo et l'Oubangui. Pour étudier les variations spatiales des flux de CO2 les AA. ont
Le réseau hydrographique du Congo est très dense, 4300 km de voies navigables le long du Congo, de l'Oubangui et de la Sangha, plus les réseaux secondaires. L'entretien des rivières assurant la navigabilité est organisé par l'Agence Transcongolaise
le Sahara, l'Oubangui-Chari, le nord du Congo belge, l'Ouganda, le Kenya, Tanganyika, Nyassaland, Mozambique, avant d'atteindre l'Afrique du Sud et Le Cap. Ayant duré près d'un an, elle s'est réalisée en période d'africanophilie aiguë.
Calcul des flux de carbone organique dissous et particulaire exportés pour l'année 1992 par 2 bassins-versants au couvert végétal différent, l'Oubangui (zone de savane) et la Ngoko (zone de forêt). L'origine du carbone est discutée en fonction des