Double étude, médicale et géographique, de la répartition de l'onchocercose dans les forêts et savanes d'Afrique occidentale. Son rôle semble très net dans la localisation et la distribution du peuplement et semble probable dans le processus de
Le dépeuplement des vallées n'est pas seulement dû à l'onchocercose, quelle que soit la gravité de cette maladie endémique| les Bissa se maintiennent dans sa zone d'endémicité, peut-être en raison de la solidité et de la densité de leur système. (RB).
L'onchocercose sévit en Afrique occidentale mais n'a pas la même ampleur ni les mêmes conséquences dans les zones de savane et de forêt. La gravité de l'endémie parmi les populations de la savane est sans doute liée à la pathogénicité plus grande
Deux études en Haute-Volta. Les Bissa (sous-préf. de Garango) ont réoccupé la vallée de la Volta Blanche, zone refuge en milieu hostile, durant la première moitié du XXs.| ils l'abandonnent peu à peu depuis, surtout à cause de l'onchocercose. Les
Culture extensive ; Géographie de l'Afrique ; Haute-Volta ; Migration ; Mise en valeur ; Onchocercose ; Population rurale ; Répartition ; Santé ; Siècle XIX-XX ; Système de culture ; Utilisation du sol ; Volta, vallées
aux dépens de la forêt, ont entraîné le développement de techniques culturales extensives par suite de la baisse des densités de main-d'oeuvre à l'hectare et par l'émigration massive de la population (rôle de l'onchocercose?). (OC).
Analyse d'une opération de mise en valeur d'une portion de la vallée de la Volta blanche suite à l'élimination de l'onchocercose. Projet d'installation de 625 familles dans une dizaine de villages. Description de la situation au début 1987
Transformations rurales au Burkina Faso, deux études de cas. Limites d'une opération terre-neuve: l'exemple du périmètre hydro-agricole dans la vallée de Kou au Burkina Faso; les transformations rurales dans les zones libérées de l'onchocercose au
de l'onchocercose| la mise en valeur des terres fertiles des vallées| la vulgarisation des méthodes modernes de culture. Le coût des aménagements peut être estimé pour la période 1972-1996 à plus de 60 milliards (chiffre de 1972).