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  • Cartographie des états de surface en relation avec le processus de ruissellement des sols : région du nord du Maroc
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Afrique ; Afrique du Nord ; Altitude ; Bassin versant ; Cartographie ; Cartographie numérique ; Distribution spatiale ; Erosion ; Erosion sol ; Infiltration ; Maroc ; Modèle numérique ; Précipitation atmosphérique ; Ruissellement ; Sol
  • L'érosion hydrique est l'un des problèmes inquiétants dans la région du nord du Maroc. Le principal facteur de cette érosion est le ruissellement dont la répartition spatiale est contrôlée par celle des précipitations et des caractéristiques de la
  • concerne une étude cartographique basée sur des données de terrain, des données de télédétection et un modèle numérique d'altitude pour la cartographie des états de surface caractéristiques du bassin versant de Telata (nord du Maroc). Le but est de vérifier
  • répartis. L'analyse de la répartition spatiale des états de surface à l'intérieur de chaque unité hydrologique montre, qu'à l'échelle de l'unité hydrologique définie par la méthode SCS, l'état de surface ne renseigne pas à lui seul sur la production du
  • surface du sol. Cette variabilité s'accompagne de changements géomorphologiques au niveau de la surface et de la formation d'une croûte superficielle continue, laquelle entraîne une diminution de l'habilité des sols à l'infiltration. Le présent travail
  • l'impact de la répartition spatiale des états de surface sur la production de ruissellement à l'échelle de l'unité hydrologique définie par la méthode SCS (Soil Conservation Service). Celle-ci définit l'unité hydrologique en fonction du potentiel de
  • drainage des sols. Le bassin versant de Telata est caractérisé par trois unités hydrologiques bien distinctes : unité B (drainage moyennement bon), unité C (drainage faible) et unité D (drainage médiocre). L'approche cartographique suivie est celle de
  • [b1] Département des sciences du sol, Institut agronomique et vétérinaire Hassan II, B.P. 6002, Rabat Institut, Rabat, Maroc
  • [b2] Département des sciences de la Terre, Faculté des sciences, Université Mohammed V, Rabat, Maroc
  • Suivi de la dégradation du matorral du Rif (Maroc): choix du dosage de l'information spatiale et des relevés de terrain
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Afrique ; Afrique du Nord ; Bassin versant ; Carte occupation sol ; Cartographie ; Classification terrain ; Dégradation ; Extrapolation ; Haute résolution ; LANDSAT ; Maroc ; Occupation sol ; Précision ; Réalité terrain ; SPOT ; Sol ; Système
  • autres n'ayant pas apporté suffisamment d'amélioration par rapport au coût supplémentaire qu'ils engendraient. Ce résultat permet, donc de raisonner d'une façon objective la prospection de terrain pour les différentes zones agro-écologiques.
  • Le présent travail est une réflexion sur les besoins en données de réalité de terrain nécessaires aux classifications dirigées des images satellitaires. II a été fait lors d'une étude de cartographie et de suivi de dégradation des terrains de
  • matorral dans le Rif occidental du Maroc. L'étude vise la précision et le suivi de l'évolution du matorral comme unité d'occupation du sol dans le bassin versant de Telata (18 000 ha). La méthode utilisée s'appuie sur les images satellitaires (HRV de SPOT
  • de 1990 et de 1996; TM de LANDSAT de 1996) pour l'extrapolation des relevés de terrain. La grande variabilité spatiale de ces formations végétales assez basses et la répartition aléatoire des zones de défrichement ont rendu la discrimination de
  • l'occupation du sol par les méthodes classiques, basées sur les classifications dirigées, assez difficile. Avec cette étude, on a testé la qualité des classifications dirigées à l'aide de trois niveaux croissants de prospection en transects (toposéquences
  • ) couvrant 2,8 %, 4,3 % et 6,3 % de la superficie du bassin versant. Les résultats ont montré que le premier niveau, grâce à l'expérience de l'interprète et à l'emploi de données auxiliaires dans un SIG, offre une efficience cartographique acceptable, les
  • [b1] Département des sciences du sol, Institut agronomique et vétérinaire Hassan II, B.P.6202 Instituts, Rabat, Maroc
  • [b2] Département d'écologie végétale et de pastoralisme, Institut agronomique et vétérinaire Hassan II, B.P. 6202 Instituts, Rabat, Maroc
  • Analyse de l'apport de différentes méthodes d'interpolation à la précision des modèles numériques d'altitude par rapport à la réalité de terrain
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Altitude ; Amérique du Nord ; Analyse moindres carrés ; Canada ; Canada Est ; Carte courbe niveau ; Carte topographique ; Interpolation ; Modèle numérique ; Méthode différence finie ; Précision ; Québec ; Réalité terrain ; Résolution spatiale
  • Altitud ; America del norte ; Canada ; Canadá Este ; Mapa de curvas de nivel ; Plano topográfico ; Precisión ; Quebec ; Realidad terreno ; Toma dato
  • données et de la résolution spatiale, les résultats obtenus montrent que la méthode des moyennes pondérées est moins précise que les deux autres méthodes. Globalement, la restitution des MNA à partir d'une équidistance de 10 met avec un pas
  • d'échantillonnage de même grandeur permet une précision significative avec une diminution du temps de restitution. Pour une équidistance de 10 et de 20 m, et quel que soit le pas d'échantillonnage, les méthodes des différences finies et des polynômes ajustés par
  • L'objectif de cette étude est d'analyser l'impact de trois méthodes d'interpolation sur la précision et le coût des modèles numériques d'altitude (MNA) en fonction de la densité des données acquises et de la résolution spatiale du MNT à élaborer
  • . Les trois méthodes retenues sont : 1) les moyennes pondérées; 2) les différences finies; 3) les polynômes ajustés par moindres carrés. Les données altimétriques sont numérisées à partir des courbes de niveau d'une carte topographique au 1: 50 000 de la
  • région de Sherbrooke (Québec) avec deux équidistances différentes (10 et 20 m). Ainsi, pour chaque méthode d'interpolation et chaque équidistance, les MNA ont été rééchantillonnés avec trois résolutions spatiales (10, 20 et 30m). Les points de référence
  • ont été sélectionnés à partir d'une carte topographique dont l'échelle est deux fois supérieure à celle utilisée pour la saisie des données, autrement dit une carte au 1: 25 000 qui couvre le même secteur d'étude. Indépendamment de la densité des
  • [b1] Département de photogrammétrie-cartographie, Institut agronomique et vétérinaire, Hassan II, B.P. 6202, Rabat, Maroc
  • [b2] Centre d'applications et de recherches en télédétection (CARTEL)
  • Université de Sherbrooke, Sherbrooke (Québec), J1K 2R1, Canada
  • [b3] Département de géographie et télédétection
  • Université de Sherbrooke, Sherbrooke (Québec), J1K 2R1, Canada
  • La super réalité de terrain : une nouvelle approche pour étudier l'incertitude spatiale sur des cartes forestières
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • %. Cependant, ces objets ne remplissent pas toute la surface de la carte : il reste un grand pourcentage de vide dont on n'a pas d'information sûre. II y a deux méthodes pour construire la super réalité de terrain. La première méthode part de multiples
  • présenté. Une deuxième méthode provient d'une interprétation alternative des photographies aériennes. Le photo-interprète ne crée pas nécessairement des polygones fermés, mais il détermine seulement les régions sur la photographie dont il est certain. Ces
  • régions composent aussi la super réalité de terrain. Parce que les méthodes sont en développement, les résultats quant à l'utilisation de ces méthodes sont très préliminaires et ne seront pas discutés en détails. Les seuls résultats concrets sont les
  • Une solution proposée pour gérer et diminuer l'incertitude spatiale dans des cartes forestières est la production d'une « super réalité de terrain ». Celle-ci est composée de polygones dont le contenu (par exemple espèce d'arbre) est connu à 100
  • interprétations. On superpose plusieurs cartes (trois au minimum) de la même zone et on ne retient que les fractions de la surface (les noyaux) qui appartiennent à la même catégorie sur les trois cartes. Un exemple de cette méthode avec des données réelles est
  • méthodologies pour approcher une super réalité de terrain.
  • DE GROEVE, T.[b1]
  • [b1] Centre de recherche en géomatique (CRG), Pavillon L.-J.-Casault, Université Laval, Québec, G1K 7P4, Canada
  • Analyse des structures forestières des forêts de Saint-Gobain et de Coucy-Basse (Aisne, France) à l'aide de l'imagerie satellitaire et de l'enquête de terrain : choix d'un pas d'échantillonnage
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • sur imagerie satellitaire, pour déterminer le pas d'échantillonnage des segments. Avec des données satellitaires des capteurs HRV de SPOT, enregistrées à trois dates différentes et dans les deux modes (panchromatique et multibande), nous avons analysé
  • et comparé la dépendance spatiale du secteur forestier public de Saint-Gobain/Coucy-Basse (Aisne, France) où devait se dérouler l'inventaire. L'analyse des variogrammes indique que le pas d'échantillonnage le plus adapté est d'au moins 900 m sur l'axe
  • N-S et d'au moins 750 m sur l'axe E-O. Ce pas permet de tracer un carroyage systématique où, à l'intérieur de chaque maille, sera tiré aléatoirement un segment d'un hectare, soit un taux de 0,85 % correspondant à 76 segments répartis sur le massif
  • L'utilisation, dans le cadre d'un inventaire des structures forestières, de méthodes d'échantillonnage relevant des sondages spatiaux, où l'échantillon est une surface élémentaire appelée ici segment, nécessite de déterminer la taille de
  • l'échantillon, le nombre de ces échantillons et leur espacement. Dans la mesure où nous souhaitions comparer nos résultats à ceux de l'Inventaire forestier national (IFN), nous avons calé la taille des segments sur ceux de l'IFN, dont la surface est d'un hectare
  • . En revanche, l'espacement de nos échantillons était incompatible avec celui, trop lâche, de l'IFN, déterminé, en l'occurrence, pour l'échelle départementale. Nous avons donc eu recours à une technique de géostatistique, l'analyse variographique, ici
  • [b1] Université de Paris 8 et Centre de biogéographie-écologie UMR 180 CNRS, École normale supérieure, Le Parc, 92211 Saint Cloud, France
  • [b2] Université de Paris 1 et Centre de biogéographie-écologie UMR 180 CNRS, École normale supérieure, Le Parc, 92211 Saint Cloud, France
  • Radiométrie au sol et géomorphologie d'un site préhistorique thuléen (OdPp-2) : île Victoria, Territoires du Nord-Ouest (Canada)
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Amérique du Nord ; Analyse factorielle ; Canada ; Canada Ouest ; Géomorphologie ; Habitat ; Ile Victoria ; Morphodynamique ; Plage ; Radiométrie ; Réalité terrain ; Signal ; Signature spectrale ; Site archéologique ; Sol ; Terrain ; Territoires Nord
  • Avec les images satellitaires de résolution métrique bientôt disponibles, on disposera d'un outil multiscalaire sans précédent. Cependant, le hiatus entre les réponses spectrales et la réalité de terrain risque de s'accroître faute d'une maîtrise
  • suffisante de la modélisation des relations signal-terrain. Partant de ce postulat, les auteurs ont étudié l'environnement biophysique immédiat d'un site archéologique connu, puis ont croisé un cortège de mesures avec des données spectroradiométriques de
  • terrain. Autour du site OdPp-2, le microrelief, la nature des dépots et le couvert végétal ont été relevés sur une superficie de 6 500 m2. Cinq transects ont été tracés au travers du paléo-cordon de plage dans lequel s'inscrivent quatre structures
  • d'habitats préhistoriques. Sur ceux-ci, les signatures spectrales au sol de 54 stations ont alors été relevées à l'aide d'un spectroradiomètre portatif SE540 opérant dans une bande spectrale de 0,4 μm à 1,1 μm. Pour étudier un ensemble d'informations
  • hétérogènes, symboliques et qualitatives comme celles de l'archéologue ou du géomorphologue ainsi que numériques comme les données captées par un appareil de mesure, le problème se pose en termes de fusion de données et d'analyse multivariée. Un premier
  • traitement réalisé à l'aide d'une classification hiérarchique ascendante a permis de regrouper les spectres radiométriques en huit classes. Ces nouvelles modalités ont ensuite été mises en correspondance avec les données qualitatives et localisées dans
  • [b2] École nationale supérieure des télécommunications de Bretagne (ENSTBr), Technopole de Brest-Iroise, 29285 Brest, France
  • Mise en relation du réseau de linéaments de surface avec les directions majeures d'écoulement souterrain dans un milieu karstique du Mont Liban à l'aide d'images HRV de SPOT et TM de LANDSAT
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • En milieu karstique, le réseau hydrographique souterrain ne suit pas le réseau de surface. Les rivières souterraines auraient-elles une direction concordante avec la maille tectonique ? Pour vérifier cette hypothèse nous avons choisi de travailler
  • pas majoritaires dans la direction de la résurgence. Par contre, parmi les failles majeures qui strient la formation karstifiée du Jurassique, certaines convergent vers Faouar Antélias. Elles pourraient bien constituer des voies privilégiées de
  • sur le réseau hydrographique souterrain de la rivière de Qattine Azar au Liban. Le Liban, pays montagneux essentiellement calcaire est truffé de gouffres et de cavités. Les deux gouffres les plus profonds du pays (Faouar Dara et Qattine Azar) ont une
  • rivière commune dont les eaux résurgent à Faouar Antélias, 23 km plus loin dans un autre bassin versant. La topographie du gouffre de Qattine Azar a été mise en relation avec une combinaison d'images HRV (P+XS) de SPOT ainsi qu'avec des composantes
  • principales issues d'une analyse des images HRV de SPOT et TM de LANDSAT. Les linéaments ont été identifiés et vectorisés à partir de ces images dérivées. Si la topographie de Qattine Azar concorde bien avec la maille tectonique locale, les linéaments ne sont
  • circulation de l'eau.
  • [b1] Département de géographie, Université Saint-Joseph, Beyrouth, Liban
  • Utilisation des mesures au sol et des données satellitaires pour l'étude de la dynamique du trait de côte de la ville de Cotonou
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • . Quelques rares décalages interrompent cette uniformité; les écarts n'excédant d'ailleurs pas 20 m. Le front de l'érosion côtière entre 1963 et 1994 a avancé de 500 m. Quelle que soit l'image satellitaire considérée, moins de 800 m de décalages cumulés ont
  • Prouver la pertinence de l'utilisation des images satellitaires pour le suivi de la dynamique du littoral de la ville de Cotonou afin de réduire de manière substantielle le coût trop élevé des travaux de terrain y afférant, tel est le but de cette
  • étude qui a été réalisée par la confrontation des mesures au sol, notamment des données topographiques, avec les résultats obtenus par traitement des images satellitaires. Le matériel de base utilisé est composé d'une carte topographique de base au 1: 50
  • 000 datant de 1963, année de construction du port de Cotonou et du début des modifications que subira la côte, et de deux images satellitaires HRV(XS) de SPOT des 22 décembre 1987 et 13 décembre 1994. Après traitement des données auxiliaires et de
  • terrain, quatre traits de côte ont été réalisés : deux produits par les images satellitaires, deux autres provenant des données de terrain. Leur superposition montre qu'il existe une conformité d'allure entre les deux types de traits de côte obtenus
  • été observés sur les 20 km de côte que compte la ville. Ce qui fait un taux de divergence de 4 %, par conséquent 96 % de similitude entre les deux types de résultat.
  • [b1] Laboratoire de biogéographie, Département de géographie et d'aménagement du territoire, Université nationale du Bénin, 03 B.P. 2984, Cotonou, Benin
  • [b2] Laboratoire de biogéographie, Département de géographie et d'aménagement du territoire, Université nationale du Bénin, B.P. 526, Cotonou, Benin
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Afrique ; Afrique du Nord ; Analyse image ; Classification ; Méthode aéroportée ; Pixel ; Réseau ; Réseau neuronal ; Satellite RADARSAT-1 ; Texture ; Tunisie ; Télédétection spatiale
  • Le développement d'une méthode de classification par réseau de neurones (RN) d'images RSO aéroportées et RADARSAT-1 fait l'objet de cet article. Les données présentées au réseau sont des vecteurs de l'image dont les composantes sont les valeurs des
  • pixels prises dans une fenêtre de texture donnée. La classification a été réalisée pour l'analyse de textures, d'une part sur une image RSO aéroportée (C-HH) acquise dans le cadre du projet GlobeSAR de 4,3 m de résolution, recouvrant une région semi-aride
  • du Sud tunisien et, d'autre part, sur une image RSO de RADARSAT-1 de 12,5 m de résolution de la région de la ville de Kairouan. L'apprentissage a été réalisé à l'aide d'un RN à une seule couche cachée formée d'un nombre assez faible de neurones. Les
  • résultats de la classification ont été évalués en termes de taux d'identification des textures. Le meilleur résultat étant de 85 % pour l'image RSO aéroportée et plus de 75 % pour l'image RSO de RADARSAT-1. Des améliorations de l'homogénéité des différentes
  • classes obtenues ont été réalisées en introduisant les tables de régularisation par les champs de Markov.
  • [b1] Laboratoire de télédétection et de systèmes d'informations à référence spatiale (LTSIRS), École nationale d'ingénieurs de Tunis, B.P. 37, 1002 Tunis-Belvédère, Tunisie
  • Les références de terrain dans l'initialisation et la validation des traitements de données aérospatiales : contribution aux études environnementales multicritères
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • singuliers n'intervenant pas obligatoirement lors des mêmes phases d'analyse. Actuellement, les deux bases de données géographiques en mode image sont sollicitées dans le cadre de planifications territoriales officielles et interviennent de manière
  • Dans le cadre de la mise en place et de l'actualisation constante d'un « Observatoire de la ville» et d'un « Système d'informations territoriales des milieux estuariens » (SIT), nous tentons de mettre au point des procédures d'extraction
  • d'informations géographiques issues de données aérospatiales traitées en matière thématique. Les spécifications de chaque traitement sont établies en fonction de l'échelle d'utilisation du document à élaborer et définissent les sources de données à exploiter
  • (clichés aériens, images satellitaires, photographies spatiales). En fait, chaque niveau d'intervention implique une échelle d'investigation particulière (région, écotone, agglomération, quartier, etc.) et nécessite par conséquent des étalonnages de terrain
  • déterminante dans les plans d'aménagement en cours d'élaboration. Sur les sites urbanisés, des procédures utilisant la morphologie mathématique, les opérations de filtrage et une palette de compositions colorées ont permis d'appréhender avec efficacité des
  • entités homogènes de bâti en faisant ion des limites administratives habituelles; la finalité est d'orienter les actions de terrain en fonction d'un nouveau découpage spatial. En estuaire de Seine, les principales investigations concernent la mise en place
  • [b1] Centre interdisciplinaire de recherches en transports et affaires internationales (CIRTAI), UPRESA 6063 du CNRS, Université du Havre, 25, rue Philippe-Lebon, B.P. 420, 76057 Le Havre, France
  • [b2] Laboratoire de modélisation et traitements graphiques (MTG), UPRESA 6063 du CNRS, Université de Rouen, 76821 Mont-Saint-Aignan, Royaume-Uni
  • La réalité de terrain et le traitement d'image en milieu tropical anthropisé : cas des mangroves et des écosystèmes littoraux du sud du Togo vus par HRV de SPOT
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • le terrain. Les variations sur les courbes de réflectance ne traduisent pas toujours des changements notables au niveau du couvert végétal et inversement. La principale source d'erreur de classement identifiée est la prépondérance de pixels mixtes
  • L'approche de la télédétection pour l'étude et la cartographie des mangroves ainsi que des écosystèmes littoraux du sud du Togo vise à compléter la connaissance du terrain par la vision synoptique et plus étendue que fournit l'imagerie satellitaire
  • . Après les traitements classiques d'une image HRV (XS) de SPOT (améliorations d'image, calculs d'indices, ACP et classifications dirigées), l'évaluation statistique des résultats indique une performance de 80 % à 100 % de pixels bien classés et 0 % de non
  • classés. Compte tenu de la persistance de certaines confusions, des transects radiométriques sur l'image sont confrontés à des transects phyto-écologiques sur le terrain. C'est le canal XS3 qui reflète plus fidèlement les variations du couvert végétal sur
  • (mixels) due à l'aspect mosaïque de la végétation qui est un mélange de végétation naturelle remaniée, de cultures à petits parcellaires, de jachères et de pâturages. Ceci s'est traduit sur l'image par une variabilité de signature spectrale au sein de la
  • même classe de végétation. La méthode statistique de classification utilisée paraît mal adaptée à ces milieux anthropisés. Des méthodes d'analyse, plus structurales et texturales seraient mieux indiquées. La méthode des transects apporte, elle, une
  • [b1] Département de botanique et biologie végétale, Faculté des sciences, Université du Bénin, B.P., 20148, Lomé, Togo
  • Action de recherche concertée « Télédétection des ressources en eau » : présentation, résultats intermédiaires et perspectives
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Actuel ; Afrique ; Afrique du Nord ; Altitude ; Base donnée ; Bassin versant ; Cartographie ; Gestion ressource eau ; Haute résolution ; Humidité sol ; LANDSAT ; Maroc ; Milieu semi aride ; Modèle numérique ; Modèle physique ; Perspective
  • L'action de recherche concertée (ARC) « Télédétection des ressources en eau s'effectue dans le cadre d'un réseau de quatre laboratoires appartenant à autant de pays du Nord et du Sud. L'objectif est d'appliquer la télédétection et les SIG à la
  • gestion des bassins versants dans les régions semi-arides. Deux sites ont été sélectionnés, l'un au Maroc (le bassin versant de Telata) et l'autre en Tunisie (le bassin versant intermédiaire de Sebkhat El Kelbia). Trois aspects sont considérés
  • : l'hydrologie, l'érosion et la qualité de l'eau. Des données HRV de SPOT, TM de LANDSAT et RSO de RADARSAT sont mises à contribution. A l'état actuel du projet, les résultats suivants ont été obtenus : 1) pour les deux sites : la réalisation de la base de
  • données regroupant les paramètres physiques du milieu (modèle numérique d'altitude, hydrographie, pédologie, géologie, pluviométrie, etc.) et l'évaluation de l'apport des données RSO à l'identification des classes hydrologiques; 2) pour le site tunisien
  • : l'étude de l'érosion selon la méthode SAGATELE et une recherche d'un modèle hydrologique et de transport solide ainsi que la mise en oeuvre du modèle ANSWERS; 3) pour le site marocain : la délimitation des unités hydrologiques définies par la méthode SCS
  • et l'étude radiométrique des différents états de surface caractéristiques des classes hydrologiques. La communication se termine par une tentative de synthèse méthodologique et thématique commune aux deux projets, faisant ressortir les similitudes des
  • [b1] Laboratoire de télédétection et systèmes d'information à référence spatiale (LTSIRS), École nationale d'ingénieurs de Tunis (ÉNIT), B.P. 37, 1002 Tunis-Belvédère, Tunisie
  • [b2] Laboratoire de conservation des sols et de l'eau, Département des sciences du sol, Institut agronomique et vétérinaire Hassan II, avenue Allal Fassi, Cité Al Afrane, B.P. 6202, Rabat-Instituts, Maroc
  • [b3] Unité SIRS, Département de génie rural, École polytechnique fédérale de Lausanne (ÉPFL), GR-Ecublens, 1015 Lausanne, Suisse
  • [b4] Centre de recherche en géomatique (CRG), Pavillon Louis-Jacques Casault, Université Laval, Québec (Québec), G1K 7P4, Canada
  • Exemple de traitement numérique de données auxiliaires du type photographies aériennes : étude de la dynamique côtière en liaison avec le canyon du trou sans fond au droit du port d'Abidjan (Côte d'Ivoire)
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Africa ; Africa occidental ; Análisis imagen ; Arena ; Canal artificial ; Correlación ; Costa de Marfil ; Fotografía aérea ; Fracción gruesa ; Granulometría ; Morfodinámica ; Océano Atlántico ; Oleaje ; Orientación ; Poder reflector ; Puerto
  • satisfaisantes dans cet exemple précis, il n'en reste pas moins vrai que la principale difficulté de la numérisation des photographies aériennes réside dans l'étalonnage de ce type de données qui rend encore difficile leur emploi systématique dans le cadre
  • Cette étude nous permet d'exploiter au mieux le traitement numérique d'images consistant en photographies aériennes au 1: 4 500 dans le domaine côtier ivoirien. L'utilisation de filtres directionnels appliqués à des photographies aériennes
  • numérisées permet d'identifier les plans de houle d'orientation NO-SE, responsables du transit sédimentaire O-E. Ce transit important, estimé à 800 000 m3 par an à l'ouest du canal de Vridi et à 400 000 m3 par an à l'est de ce même canal, contribue en grande
  • partie à l'ensablement du canal d'accès au port d'Abidjan. Les profils radiométriques obtenus permettent d'établir des corrélations entre les valeurs radiométriques et les caractéristiques granulométriques des sables : les sables grossiers et multimodaux
  • ont une valeur de réflectance qui est différente de la valeur de réflectance des sables fins unimodaux. Bien que la quantité et la qualité des informations extraites de l'interprétation numérique de photographies aériennes numérisées soient tout à fait
  • [b1] Centre universitaire de recherche et d'application en télédétection (CURAT), Université de Cocody, B.P. 582, Abidjan, Cote d' ivoire
  • Fusion d'images multirésolution par égalisation de moyennes et de variances locales : comparaison avec la fusion par la méthode des ondelettes
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • , les ondelettes servant à encoder la différence d'informations entre deux pas de résolution successifs. Cette information structurale est ensuite intégrée aux canaux à BR pour produire les néo-canaux spectraux à HR simulée. Une méthodologie originale
  • Plusieurs méthodes de fusion d'images multirésolution ont été proposées dans la littérature avec pour but d'obtenir des images multibandes qui préservent à la fois l'information spatiale essentielle de l'image à haute résolution (HR) et
  • l'information spectrale des canaux à basse résolution (BR). La méthode d'intégration qui, actuellement, semble le mieux préserver l'information spectrale repose sur la théorie des ondelettes. Elle consiste à analyser l'image à HR à des résolutions décroissantes
  • d'intégration est proposée ici, basée sur l'ajustement des moyennes et des variances locales de l'image à HR à celles du canal à BR. L'algorithme effectue une égalisation des histogrammes locaux de l'image à HR avec ceux du canal à BR, et les différences qui
  • subsistent entre les deux images correspondent à l'information spatiale intégrée de l'image à HR. Cet algorithme a été appliqué à une image panchromatique à HR KVR-1000 de KOSMOS (2 m) à intégrer à une image multibande HRV (XS) de SPOT (20 m), sur la ville de
  • Liège en Belgique. Les résultats obtenus par cette nouvelle méthode sont comparés à ceux obtenus par la méthode des ondelettes, appliquée à ce même jeu de données.
  • DE BETHUNE, S.[b1]
  • [b1] Laboratoire SURFACES, Université de Liège, 7, place du 20 août, 4000 Liège, Belgique
  • Transformation des terres du Rif et son impact sur l'envasement du barrage Ibn Battouta (Tangérois, Maroc)
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Afrique ; Afrique du Nord ; Barrage ; Bassin versant ; Carte ; Carte occupation sol ; Domaine Rifain ; Envasement ; Erosion sol ; Etude impact milieu ; Haute résolution ; Imagerie ; LANDSAT ; Maroc ; Modèle ; Occupation sol ; Pluie ; Ruissellement
  • Une étude multidate basée sur l'utilisation d'une carte existante d'occupation des terres établie en 1976 (1: 20 000), de l'imagerie satellitaire (HRV de SPOT de 1990 et TM de LANDSAT de 1996) et de travaux sur le terrain a permis de préciser
  • l'évolution spatiale et temporelle du défrichement du matorral dans le bassin versant de Telata (18 000 ha, Tangérois). La régression du matorral au profit de la culture en pente des céréales avait touché environ 15 % de la superficie du bassin versant en 20
  • ans. Cette transformation de l'occupation du sol rend le versant tangérois très vulnérable à l'action érosive de la pluie et du ruissellement. Cette information a été intégrée dans un modèle d'érosion basé dans un système d'information géographique
  • (SIG). Ce dernier est basé sur l'équation universelle de perte en sol dans sa version révisée (RUSLE) et qui fait l'objet d'un programme d'adaptation aux conditions méditerranéennes. Les rendements en sédiments calculés avec ce modèle pour le bassin de
  • Telata intégrant respectivement la carte d'occupation des terres de 1976 et celle de 1996, sont en accord avec les données d'envasement mesurées par bathymétrie dans le réservoir du barrage Ibn Battouta (1976 et 1991). Le SIG du bassin versant développé
  • avec la mise à jour par télédétection offre un outil efficace de diagnostic et de planification des aménagements pour une gestion de conservation des bassins versants rifains.
  • [b1] Institut agronomique et vétérinaire Hassan Il, Département des sciences du sol, B.P. 6202, Instituts, Rabat, Maroc
  • [b2] Administration des eaux et forêts et de la conservation des sols, Chellah, Rabat, Maroc
  • Importance des mesures de terrain dans l'établissement d'algorithmes de suivi du couvert nival à partir d'images radar
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Algorithme ; Amérique ; Amérique du Nord ; Canada ; Couverture neige ; Equivalent eau ; Observation par satellite ; Observation radar ; Profil vertical ; Québec
  • L'Institut national de la recherche scientifique (INRS-Eau) et Hydro-Québec étudient le potentiel du capteur RSO du satellite canadien RADARSAT (bande C-HH) pour le suivi du couvert nival dans la région de la baie James (Québec) et visent le
  • développement d'une méthode opérationnelle d'estimation de l'équivalent en eau de la neige au sol et de cartographie de la neige humide à partir de cette technologie. L'interprétation du signal radar, de même que le développement et la validation des algorithmes
  • exigent la connaissance d'un très grand nombre de paramètres mesurés sur le terrain. Des lignes de neige, des profils verticaux et des sondes installées en permanence sur le territoire permettent de relever la hauteur, l'équivalent en eau, la densité, la
  • résistance thermique, la teneur en eau et la température de la neige lors du passage de RADARSAT. Grâce à ces données, une première relation est établie entre la résistance thermique du couvert nival et la différence de signal extrait d'une image RSO d'hiver
  • et d'une d'automne. Une seconde relation convertit les résistances thermiques en équivalents en eau de la neige. Dans le cas des images en mode standard (S7) de RADARSAT, l'algorithme actuel surestime de 12 à 18 % les valeurs mesurées sur le terrain.
  • Analyse comparée de la dynamique spatiale des villes de Bamako (Mali) et de Garoua (Cameroun) à partir d'images satellitaires et de données auxiliaires
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Cette étude a pour but d'analyser la croissance spatiale et les changements d'affectations du sol à partir de cartes, de photographies aériennes et surtout d'images satellitaires. L'étude devrait en effet montrer que les praticiens de l'urbanisme
  • dans les pays en développement peuvent obtenirdes informations précieuses à partir d'images et à des coûts raisonnables. À ces fins ont été utilisés deux couples d'images HRV (XS et P) de SPOT, tous K-J: 40-325 enregistrés au-dessus de la ville de
  • Bamako en novembre 1986 et avril 1996. Ces images ont été recalées l'une sur l'autre puis les histogrammes ont été égalisés pour permettre les combinaisons diachroniques. Le panchromatique de 1996 a servi de référence dans ces traitements. Après ces
  • corrections, une soustraction a été faite entre les deux panchromatiques. Pour Garoua, un plan de l'IGN de 1962 au 1: 10 000, une couverture photographique de 1973 totalisant 30 clichés au 1: 8 000 et un couple d'images HRV, K-J: 86-331 datant de 1995 sont
  • disponibles. Les cartes et les photographies ont été numérisées puis mosaïquées. Une composition colorée P+XS a été créée à partir des images et corrigée au niveau 2A en la mettant dans le même référentiel cartographique que le plan. Les mosaïques des cartes
  • et des photographies ont ensuite été successivement incrustées dans la P+XS. L'interprétation des résultats obtenus montre une extension très rapide de l'espace urbanisé dans les deux villes. Les changements d'affectations à l'intérieur du tissu
  • [b1] Laboratoire Population-Environnement case 10, Université de Provence-ORSTOM, centre Saint-Charles, 3 place Victor Hugo, 13331 Marseille, France
  • [b2] ORSTOM, Laboratoire du comportement des sols cultivés, 911 avenue Agropolis, B.P. 5045, 34032 Montpellier, France
  • [b3] Laboratoire ORSTOM, Maison de la Télédétection, 500 rue J. F. Breton, 34093 Montpellier, France
  • [b4] Institut supérieur de formation et de recherche appliquée (ISFRA), B.P. 241, Bamako, Mali
  • [b5] Institut national de cartographie (INC) B.P. 157, Yaoundé, Cameroun
  • Acquisitions des données de terrain de support aux analyses des images RSO de RADARSAT
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Air ; Amérique du Nord ; Analyse image ; Canada ; Canada Est ; Humidité sol ; Mesure au sol ; Québec ; Rugosité ; Saisie donnée ; Satellite ; Satellite RADARSAT ; Sol ; Température ; Terrain ; Télédétection spatiale
  • Le but de cette article est de présenter les principaux résultats d'une campagne de mesures au sol effectuée en quasi-synchronisme avec le passage du satellite RADARSAT. Cette campagne s'inscrivait dans le cadre du projet ADRO (039) du laboratoire
  • de télédétection de l'Université de Montréal et a été effectuée en été 1996 en Gaspésie (Québec). La campagne visait essentiellement à mettre au point une trousse d'appareils et d'autres dispositifs qui peuvent faciliter les opérations de terrain de
  • support à l'analyse des données radar et à la validation des résultats. Durant cette campagne, trois types d'appareils ou de dispositifs ontété testés : 1) une série d'appareils permettant d'acquérir des données sur les conditions environnementales
  • prévalant lors du passage du satellite (vent, température de l'air et du sol, humidité, etc.); 2) une caméra numérique accompagnée d'autres dispositifs et d'appareils permettant d'acquérir des données sur la géométrie des cibles typiques de la couverture du
  • sol (rugosité du sol, caractéristiques des canopées); 3) des réflecteurs en coin portatifs construits par l'équipe du laboratoire dans le but de densifier les points de contrôle en vue des corrections géométriques. Concernant la première série
  • d'appareils, l'expérimentation a démontré que nous pouvons constituer une trousse d'appareils simples d'application et à bas prix avec un bon rapport rendement-vitesse d'échantillonnage. Certains appareils, cependant sont loin d'atteindre la précision des
  • [b1] Département de géographie, Université de Montréal, C.P. 6128, Succ. Centre-ville, Montréal (Québec), H3C 3J7, Canada
  • Apport des données RSO de RADARSAT-1 à l'étude de l'humidité des sols d'une zone semi-aride : implication pour la modélisation hydrologique
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Afrique ; Afrique du Nord ; Algorithme ; Aménagement bassin ; Bassin versant ; Carte occupation sol ; Cartographie ; Drainage ; Humidité sol ; Hyperfréquence ; Interprétation ; Maroc ; Milieu semi aride ; Modèle ; Occupation sol ; Ressource eau
  • Le suivi de l'humidité du sol dans l'espace et dans le temps constitue un élément-clé des modèles hydrologiques utilisés pour l'étude des ressources en eau et l'aménagement des bassins versants. Le signal radar est sensible à l'humidité du sol et
  • des algorithmes simples et réversibles ont été mis au point pour l'interprétation en routine d'une série temporelle des mesures hyperfréquences. On présente ici un exemple d'utilisation d'un modèle simple et réversible pour vérifier la possibilité
  • d'utilisation du signal rétrodiffusé de la bande C (3,75-7,5 cm) du nouveau capteur RSO de RADARSAT-1 pour la discrimination des sols en fonction de leur potentiel de drainage. La zone d'étude est le bassin versant de Telata connu par sa topographie très
  • accidentée, son potentiel de drainage faible et son couvert végétal très varié. La cartographie de l'occupation du sol à partir d'une image TM montre 5 classes qui sont le matorral dense, le matorral clair, les cultures, les sols nus et l'eau. Dans un premier
  • temps, la comparaison entre les valeurs de coefficient de rétrodiffusion et celles de l'humidité équivalente, pour des zones-témoin ayant la même pente et le même couvert végétal, montre un coefficient de corrélation faible (r = 0,35). L'intégration d'un
  • terme de correction de l'angle d'incidence local dans un modèle réversible utilisant une fonction linéaire du signal radar et de l'humidité équivalente des sols montre que la variabilité spatiale de la rugosité du sol influence fortement la
  • [b1] Département des sciences du sol, Institut agronomique et vétérinaire Hassan II, B.P. 6202, Rabat-Instituts, Rabat, Maroc
  • [b2] Administration des eaux et forêts et de la conservation des sols, Chellah, Rabat, Maroc
  • Cartographie des paysages végétaux de la région d'Androka (sud-ouest de Madagascar) : réalité de terrain et traitement des données
  • La réalité de terrain en télédétection : pratiques et méthodes (Saint Foy, 13-17 octobre 1997)
  • Dans ce travail, qui s'intègre dans une recherche doctorale sur l'évolution des paysages de du sud-ouest de Madagascar, nous avons établi une première cartographie des formations végétales de la région d'Androka et mis en évidence certains éléments
  • de leur dynamique sur 6 ans. Nous disposions pour cela de deux images HRV de SPOT prises le 25-08-1986 et le 10-05-1992. Le support cartographique de cette région étant peu précis et certaines zones difficiles d'accès, il était nécessaire d'établir au
  • préalable des points de repère sur l'image récente et de se restreindre à des secteurs représentatifs des principales unités de paysage. Plusieurs relevés ont été effectués sur le terrain afin d'identifier précisément la nature des différents types de
  • formations (fourrés, clairières, parcelles de culture, pâturages). S'il s'est avéré souvent difficile de séparer certaines unités de paysages bien distinctes sur le terrain mais présentant des similitudes sur les images (formations dégradées/clairières
  • , cultures/pâturages), une cartographie de la végétation assez précise de la région d'Androka a pu être établie. La comparaison entre les deux scènes a ensuite permis de mettre en évidence certains phénomènes d'évolution comme des zones de recul et de
  • [b1] Institut de géographie, Université Michel de Montaigne (Bordeaux 3), Domaine universitaire, 33405 Talence, France