qui l'habitent, principalement deux, les Draoua ou Haratines, habitants originels, agriculteurs-jardiniers de l'oasis, et les Berbères Ayt Ātta, semi-nomades transhumants de la montagne proche, le jbel Saghro, installés plus récemment, comme
phénomène massif de migration interne. Les jeunes en mobilité - notamment les jeunes diplômés « nomades » dans les grandes villes - se voient de plus en plus relégués dans les zones urbaines de vulnérabilité (Robert Castel) où différentes formes de