Au début des années 1990, l'étude de P. Newman sur la dépendance automobile des villes préconisait une densification des tissus urbains pour lutter contre les effets néfastes de la motorisation. Un examen de différents processus en jeu dans la
motorisation et l'urbanisation conduit à mettre en doute l'effet bénéfique d'une densification par ailleurs difficile à réaliser. En comparant la politique proposée par Newman à une politique de laisser-faire, l'A. montre que la première n'est pas