propose un modèle conceptuel (MODE) qui permet de reproduire in silico l'environnement dynamique d'Aedes aegypti aux échelles auxquelles sont organisées (échelle de la ville - MODE-macro) et menées (échelle du quartier -- MODE-micro) les campagnes de lutte
anti-vectorielles. L'environnement ainsi généré peut (1) être intégré à un modèle à base d'agents qui permet alors de simuler le système pathogène complexe de la dengue ou du Zika (environnement - vecteur - hôte - virus) et (2) être utilisé pour
cartographier l'aléa environnemental du risque vectoriel dans la ville. Le modèle conceptuel MODE repose sur une approche phénoménologique transposable dans le temps et dans l'espace : il peut être appliqué dans différents contextes urbains, à différentes
périodes et à différentes échelles. Afin de garantir sa généricité spatio-temporelle, les modèles informatiques MODE-micro (échelle du quartier) et MODE-macro (échelle de la ville) ont été implémentés dans le but de générer des environnements dynamiques à
vers le nouveau modèle de résidence (xiaoqu), qui génère une matrice d'assujettissement (logique de marché), mais aussi de subjectivation, les pratiques des individus (routines et contestation) étant productrices de nouveaux cadres. Le quartier devient
avec les autres espaces urbains, mais depuis le début de ce siècle et à la suite du développement des villes, de la construction des rues donnant accès aux voitures et de la désignation des modèles d’habitation et d’urbanisme, le rapport entre le bazar