À la (con)quête des sols : micro-logiques et stratégies foncières dans la production des corridors industriels de Chennai, Inde
villages, nous décrivons et renseignons les représentations associées au sol et les pratiques d'acquisition foncière afin d'éclairer les micro-logiques : ces processus fragiles et incertains dans lesquels les acteurs s'impliquent de façon coordonnée ou non
propose un modèle conceptuel (MODE) qui permet de reproduire in silico l'environnement dynamique d'Aedes aegypti aux échelles auxquelles sont organisées (échelle de la ville - MODE-macro) et menées (échelle du quartier -- MODE-micro) les campagnes de lutte
périodes et à différentes échelles. Afin de garantir sa généricité spatio-temporelle, les modèles informatiques MODE-micro (échelle du quartier) et MODE-macro (échelle de la ville) ont été implémentés dans le but de générer des environnements dynamiques à
contemporain et historique. Couplant des sphères micro et macro d’analyse dans une approche totalisante de la ville, ce travail étudie l’apport de processus globaux longs (gouvernance partagée) et conjecturels (libération du jeu, « boom » économique), qui
invitent à considérer les dynamiques de différenciation sociale internes à ces groupes et opérées par ces aliments, ainsi que les contextes interactionnels agissant sur leur prévalence. A l’échelle micro-individuelle, les liens à l’alimentation et à ces
travail a été réalisé à l’échelle micro- individuelle qui correspond le mieux à notre problématique pour mieux analyser les pratiques des individus, les émotions, les normes sociales incorporées. La méthode qualitative retenue permet de se concentrer sur
sur la terre (ex-vinculación) et la résistance des ayllus de Tinguipaya aux tentatives d’annexion des haciendas, montrant ainsi les liens étroits entre la micro histoire de Tinguipaya et l’histoire de la Bolivie. Les narrations orales et les documents
sociologie des mouvements sociaux, à l’anthropologie politique de l’État et des ONG, et à la micro-histoire. L’étude en trois volets remonte aux années 1940 et s’achève en 2010, afin d’analyser la genèse et les transformations des rapports des pedranos à
Chili : central et péri urbaine. Les familles en localisation centrale habitaient dans des « condominios » horizontaux de la commune de Ñuñoa, tandis que les périurbains le faisaient dans des micro quartiers de l'ensemble résidentiel “Ciudad de Los