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  • En 1983, la situation du commerce extérieur soviétique est différente suivant les partenaires: déséquilibre persistant dans le commerce avec le CAEM, mais excédent commercial avec l'Ouest.
  • Croissance rapide des échanges, mais déficit important de ces pays très pauvres dans leur commerce avec l'Est| structure typique des échanges (biens manufacturés Est-européens contre produits primaires du Tiers-Monde)| nombreux accords bilatéraux et
  • projets de développement, mais faiblesse des résultats et des crédits engagés.
  • communiqué annuel pour 1981 atteste une croissance parfaitement conforme aux prévisions du plan, mais sans fournir de chiffres-clés. Vraisemblablement, la fourchette de la croissance s'établit entre 4 et 5 %, mais il y a des disparités importantes d'un
  • Le commerce extérieur de l'URSS a atteint en 1985 un total de 141,6 milliards de roubles devises, soit 1,3 % de plus qu'en 1984, les exportations progressent vers les pays socialistes (+5,2 %), mais diminuent avec l'Ouest (de 13 %) et avec le Tiers
  • -Monde (de 12 %). Par contre, les importations ont augmenté de 5,7 % (notamment avec les pays socialistes). Le solde excédentaire global est de 3,4 milliards de roubles en 1985 (9 milliards en 1984). Mais son déficit atteint 689 millions de roubles avec
  • connaissent la progression la plus faible depuis 1971 avec un taux annuel de 7,2 %. Le volume des importations a augmenté plus rapidement que celui des exportations, mais les prix à l'exportation ont globalement augmenté de 4 %, tandis qu'à l'importation ils
  • ont diminué de 1,7 %. Cette évolution reflète des tendances différentes selon les groupes de pays considérés, mais il semble que la situation se soit améliorée pour l'URSS avec chacun de ces groupes: pays du CAEM, Tiers-Monde, pays occidentaux
  • L'A. présente ici en tableaux et graphiques les chiffres les plus récents du commerce Est-Ouest, aujourd'hui inférieur à celui de 1980. L'URSS qui participe pour 55 % à ce commerce en est en partie responsable, mais il faut y ajouter les variations
  • compte particulièrement sur l'Ouest pour sortir de la crise, mais son commerce constitue son plus grave handicap (85 % en est destiné aux pays de l'Est, d'où proviennent aussi 75 % des importations bulgares).
  • Régression du commerce extérieur soviétique de façon globale, et sur tous les fronts. Le pétrole est responsable de la chute des exportations : la part des pays membres du CAEM a augmenté, mais le total des exportations a baissé, avec l'ouest le
  • En 1986, la production agricole s'est améliorée par rapport à 1985 et l'industrie a bénéficié d'investissements plus importants. Mais le niveau de vie ne progresse guère et on enregistre de nombreuses pénuries. La Bulgarie poursuit la
  • Alliée inconditionnelle de l'URSS, la Bulgarie a reçu en retour une aide importante qui lui a permis de se hisser au rang des pays industriels malgré sa taille, ses faibles ressources humaines, naturelles et matérielles. Mais pour continuer à
  • Présentation de l'état des exportations et des importations de l'URSS étudiés par groupes de pays (COMECON, hors-COMECON, Tiers-Monde, pays occidentaux) nombreux tableaux, le volume des exportations a progressé comme en 1986, mais les chiffres ont
  • consommateurs et l'expansion des exportations, mais donne la priorité au progrès technique et à la productivité. Cependant compte tenu des difficultés et incertitudes qui pèsent lourdement sur l'économie est-allemande, on peut rester sceptique sur la réalisation
  • (pétrole et gaz), avec une nette réduction des exportations de pétrole brut, mais des importations accrues de céréales et de produits alimentaires, de ce fait, le sol apparaît souvent débiteur. (CLR).
  • En 1981, pour la première fois depuis plus de 20 ans, le commerce Est-Ouest a diminué en valeur: 80,3 milliards de dollars contre 85,3 en 1980 (tableaux), mais l'évolution n'est pas la même suivant les pays, et la baisse du dollar au cours du 1
  • structure, mais aussi en termes de partenaires: Ouest-vendeur de céréales et URSS, Ouest-importateur d'énergie et URSS, flux qui par construction doivent être équilibrés pour l'URSS. (CLR).
  • entreprises et organismes avaient acquis ce droit. Mais le 11 décembre 1989, cette liberté apparaît comme un mirage : pratiquement toutes les exportations et bon nombre d'importations sont soumises à l'octroi de licences et tombent sous le contrôle du
  • dans les services et la production de biens de consommation destinés au marché soviétique, mais les possibilités sont très vastes. Cependant des législations plus restrictives et l'incertitude qui pèse sur la monnaie soviétique constituent des
  • L'apparition d'un déficit de 2,7 milliards de dollars en 1988 dans les échanges de l'URSS avec l'Ouest est due en partie à l'évolution des prix pétroliers, aux importations agro-alimentaires, mais aussi aux effets d'une décentralisation de la
  • extérieur, annonce la création de nombreuses entreprises commerciales, l'adoption de nouvelles règles de change, d'un système tarifaire nouveau et de puissantes incitations à l'exportation, mais elle fait aussi des concessions nombreuses aux investisseurs
  • dollars contre 3,8 en 1983, à part quasiment égale avec l'URSS et avec les 6 pays européens du CAEM. Mais cette présentation statistique en dollars est très différente de celle obtenue dans la monnaie de chaque pays de l'OCDE, car la parité du dollar
  • Les mauvais résultats du commerce extérieur de l'URSS en 1985 et 1986 ont incité les nouveaux dirigeants de l'URSS à précipiter le mouvement de réforme dans le domaine des échanges. Mais c'est la chute des cours du pétrole et du dollar qui explique