puisqu'elle a aussi une inspiration qui se fonde sur une question de fond sur les sociétés latino-américaines dans lesquelles nous vivons. Comme ont coutume de le faire les anthropologues, je me suis concentrée sur un cas particulier, mais je n'ai jamais cessé
réseaux familiaux et communautaires. On peut dire, qu'ils possèdent de multiples motivations, qu'il n'y a pas une motivation du business, mais un carrefour de motivations entre les affaires et la subsistance, les normes groupales et l'égoïsme instrumental
une offre immobilière adaptée aux aspirations et aux besoins sécuritaires des nouveaux habitants. Ensuite, la gentrification n’est pas le produit d’acteurs individuels mais elle implique des conflits d’intérêts entre des acteurs collectifs. Nourrie par
la méthode employée implique la reconnaissance d’une problématique partagée avec l’altérité étudiée ici. Cependant, il ne s’agit pas d’un récit autobiographique mais bien d’une tentative de saisir dans le dialogue avec autrui des réponses à un avenir