La présente recherche se propose d’étudier la représentation de la perception des acteurs de l’habiter qui n’aspirent qu’à l’adaptabilité de leur monde de vie [l’espace habité]. Cette recherche sort ainsi du cadre des limites qui visent à structurer
Vietnam, dans les grandes agglomérations de ce pays, le processus d’urbanisation est encadré dans des limites territoriales définies par l’Etat et collectivités locales. Mais il se fait en outre de façon spontanée en réponse aux besoins de nombreuses
limites et comment se pratiquent les mobilités urbaines. Nous proposons des grilles de lecture de ces dernières à partir du cas de la ville de N’Djamena, la capitale tchadienne. Cette étude traite de la mobilité urbaine à partir de l’analyse du