par le schéma : la persistance d'un « système composite », l'effacement des limites des territoires de pré-collecte et la fin du concept de « quartier propre ». Enfin, les réformes du système de gestion des déchets – par les choix techniques, la
qui transcende désormais les limites communales, les logiques foncières et les zones à risques. Enfin, se pose la question du cadre de vie pour les populations, le paysage urbain en devenir et la disparition d’une identité jusque-là transmise en partie