Stabilité des effectifs| forte concentration dans le Bâtiment et l'Alimentation| une population vieillissante et des niveaux de formation peu élevés, mais en progression. - (CC)
Le poids des entreprises non régionales dans l'industrie bretonne
Les investisseurs extérieurs à la Bretagne contribuent à 44 % de la valeur ajoutée et à 39 % de l'emploi industriel régional. L'emploi résiste mieux dans les entreprises bretonnes que dans les établissements d'entreprises extérieures. - (CC)
Le jeu des cessations et créations d'entreprises s'équilibre grossièrement mais opère un glissement de l'emploi non salarié vers l'emploi salarié. Le bassin de Rennes-Vitré et le littoral sud-est sont, avec la pointe de Brest, les zones
Avec 17000 salariés en 1992, la construction électrique et électronique reste une activité industrielle importante en Bretagne, derrière l'agro-alimentaire. Si cette spécialisation a été à l'abri des crises les plus sévères, les gains de
Une forte croissance de la valeur ajoutée| les deux branches motrices du développement régional : agroalimentaire et biens d'équipement| croissance soutenue de la productivité, toujours inférieure cependant à la moyenne nationale. - (CC)
5000 établissements bretons ont changé de commune de localisation de 1987 à 1990. Pour les plus grands établissements et les activités industrielles, il s'agit surtout d'un mouvement allant du centre-ville vers la banlieue ou une couronne plus
éloignée. Les petits établissements, de services de proximité notamment, sont au contraire attirés par les pôles urbains au détriment du rural profond. - (CC)
L'analyse du processus qui a conduit Moscou à reconnaître les indépendances abkhaze et sud-ossète fait apparaître une politique opiniâtre, décidée et dessinée dès 1992 dans ses grands contours. La Russie a patiemment mis en place toutes les
Une évolution atypique puisque la Bretagne est l'une des rares régions à avoir bénéficié d'une croissance continue de sa production industrielle et d'un maintien global de ses effectifs salariés. L'agro-alimentaire a joué le rôle de tampon de la
crise. Cependant, à partir de 1983-84, les tendances s'inversent : emploi, investissement et productivité s'infléchissent. - (CC)
Cette accumulation récente de tensions aux accents de guerre froide remet sur le devant de la scène européenne une question russe. La politique russe d'obstruction systématique ne contribue pas au règlement des problèmes, mais elle risque de les
perpétuer et même de les aggraver. Elle tend à pousser l'ensemble des pays voisins à développer en commun des synergies pour contrer son influence.
Une indépendance économique et politique illusoire. Une pluralité politique de façade. Le gouvernement abkhaze en exil : un Etat dans l'Etat géorgien. Une économie privée d'hommes et de capitaux. Un système éducatif qui attise les divisions
La part de l'emploi industriel dépendant des groupes est passée de 39,4 à 46,5 %. Les groupes présents en Bretagne sur toute la période tendent vers une spécialisation accrue dans les branches déjà prédominantes : électronique, automobile, agro
-alimentaire. C'est par croissance externe que se sont développés ces groupes, alors que les établissements sous leur contrôle depuis 1980 connaissent des baisses d'effectif. Quelques entreprises bretonnes ont pris la tête de nouveaux groupes, notamment dans